DOSSIE:La vérité sur les activités d’AREVA au Niger
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DOSSIE:La vérité sur les activités d’AREVA au Niger
La vérité sur les activités d’AREVA au Niger
AREVA reçoit le prix du "Public Eye Global Award" et du "Public Eye People's Award" une compétition censée dénoncer « l’entreprise la plus irresponsable de l’année ».
Sur le fond d'informations totalement fausses concernant les activités d'AREVA au Niger , le groupe ne peut que déplorer cette initiative anti-démocratique et partiale de la Fondation Suisse de l’Energie.
Attaqué par ces manœuvres plus que douteuses, le groupe souhaite au nom de la transparence rétablir quelques vérités sur sa présence au Niger.
Une démarche industrielle durable
Pour la Fondation Suisse de l’Energie, « le calcul d’AREVA est simple : dans 10 ans, les gisements seront épuisés et le problème réglé »…
La vérité :
Implanté depuis 40 ans au Niger, AREVA en est resté un partenaire fidèle dans les mauvais jours.
Dans les années 80 et 90, alors que le prix de l’uranium était au plus bas et que les sociétés étrangères quittaient le pays, le groupe a poursuivi l’exploitation des gisements nigériens et maintenu dans leur emploi ses 2 000 collaborateurs. AREVA a accepté en cette période d’acheter l’uranium nigérien à un prix très supérieur aux conditions du marché.
L’accord signé le 13 janvier 2008 entre AREVA et l’Etat du Niger confirme le groupe dans sa position d’opérateur minier local pour les quatre décennies à venir. Il prévoit l’exploitation du gisement d’Imouraren, qui sera le plus grand projet jamais mené en Afrique pour l’extraction d’uranium, et créera 1400 emplois directs permanents.
Un partenariat gagnant-gagnant
Pour la Fondation Suisse de l’Energie, « les richesses du Niger profitent essentiellement à des sociétés étrangères ».
La vérité :
AREVA achète l’uranium extrait sur place à des sociétés dont l’Etat nigérien est actionnaire et dont il perçoit les dividendes. Une partie de cet uranium revient également aux autorités nigériennes.
99% du personnel d’AREVA est nigérien.
Les filiales du groupe, Cominak et Somaïr, déploient depuis plusieurs décennies des programmes de santé et de développement (distribution d’eau et d’électricité, construction d’écoles) très importants pour la région d’Arlit.
Une authentique politique de santé
Pour la Fondation Suisse de l’Energie, seuls « les patients qui peuvent payer reçoivent ensuite les soins appropriés ».
La vérité :
Dès son implantation au Niger, AREVA s'est attaché à mettre en place et financer le fonctionnement de structures sanitaires autour de ses sites. Les deux hôpitaux ainsi créés, répondant aux normes françaises les plus strictes, réalisent 200 000 actes de soins gratuits par an (soit 15 % des dépenses de santé du pays). Ces hôpitaux ont contribué à améliorer significativement l'état sanitaire de la population. Ils ont d’ailleurs été audités récemment par un cabinet indépendant français, qui a confirmé la qualité de ces structures médicales
Quant aux accusations de « faux diagnostic » sur des cas imaginaires de SIDA ou de malaria, le groupe n’entend pas répondre à l’injure. Tout juste peut-il souligner que les médecins nigériens des hôpitaux sont indépendants et que leur déontologie n’a pas à souffrir de ce genre de soupçons.
Des conditions de travail très encadrées
« Les conditions de sécurité à la mine sont catastrophiques »
La vérité :
Les conditions de travail sur les sites nigériens d’AREVA répondent aux normes les plus strictes, les mêmes que celles en vigueur au Canada ou au Kazakhstan. En termes de sécurité, les résultats des deux mines sont d’ailleurs excellents : le taux de fréquence d’accident avec arrêt a été en 2007 de 0 à Somaïr et de 3,2 à Cominak (il est voisin de 26 dans les branches d’activités salariées en France).
Une politique environnementale responsable
« Des analyses ont démontré la contamination de l’air, de l’eau et des sols »
La vérité :
Sur ses sites et dans leur voisinage, AREVA réalise ou fait réaliser régulièrement des audits en matière de sûreté et d’environnement. En 2004 et 2005, le groupe a sollicité l'IRSN, expert public français en matière de sûreté et de radioprotection, pour plusieurs études sur la surveillance de l'environnement. L’IRSN a conclu que le système de surveillance de l’environnement des deux sociétés était cohérent et conforme aux standards internationau
AREVA reçoit le prix du "Public Eye Global Award" et du "Public Eye People's Award" une compétition censée dénoncer « l’entreprise la plus irresponsable de l’année ».
Sur le fond d'informations totalement fausses concernant les activités d'AREVA au Niger , le groupe ne peut que déplorer cette initiative anti-démocratique et partiale de la Fondation Suisse de l’Energie.
Attaqué par ces manœuvres plus que douteuses, le groupe souhaite au nom de la transparence rétablir quelques vérités sur sa présence au Niger.
Une démarche industrielle durable
Pour la Fondation Suisse de l’Energie, « le calcul d’AREVA est simple : dans 10 ans, les gisements seront épuisés et le problème réglé »…
La vérité :
Implanté depuis 40 ans au Niger, AREVA en est resté un partenaire fidèle dans les mauvais jours.
Dans les années 80 et 90, alors que le prix de l’uranium était au plus bas et que les sociétés étrangères quittaient le pays, le groupe a poursuivi l’exploitation des gisements nigériens et maintenu dans leur emploi ses 2 000 collaborateurs. AREVA a accepté en cette période d’acheter l’uranium nigérien à un prix très supérieur aux conditions du marché.
L’accord signé le 13 janvier 2008 entre AREVA et l’Etat du Niger confirme le groupe dans sa position d’opérateur minier local pour les quatre décennies à venir. Il prévoit l’exploitation du gisement d’Imouraren, qui sera le plus grand projet jamais mené en Afrique pour l’extraction d’uranium, et créera 1400 emplois directs permanents.
Un partenariat gagnant-gagnant
Pour la Fondation Suisse de l’Energie, « les richesses du Niger profitent essentiellement à des sociétés étrangères ».
La vérité :
AREVA achète l’uranium extrait sur place à des sociétés dont l’Etat nigérien est actionnaire et dont il perçoit les dividendes. Une partie de cet uranium revient également aux autorités nigériennes.
99% du personnel d’AREVA est nigérien.
Les filiales du groupe, Cominak et Somaïr, déploient depuis plusieurs décennies des programmes de santé et de développement (distribution d’eau et d’électricité, construction d’écoles) très importants pour la région d’Arlit.
Une authentique politique de santé
Pour la Fondation Suisse de l’Energie, seuls « les patients qui peuvent payer reçoivent ensuite les soins appropriés ».
La vérité :
Dès son implantation au Niger, AREVA s'est attaché à mettre en place et financer le fonctionnement de structures sanitaires autour de ses sites. Les deux hôpitaux ainsi créés, répondant aux normes françaises les plus strictes, réalisent 200 000 actes de soins gratuits par an (soit 15 % des dépenses de santé du pays). Ces hôpitaux ont contribué à améliorer significativement l'état sanitaire de la population. Ils ont d’ailleurs été audités récemment par un cabinet indépendant français, qui a confirmé la qualité de ces structures médicales
Quant aux accusations de « faux diagnostic » sur des cas imaginaires de SIDA ou de malaria, le groupe n’entend pas répondre à l’injure. Tout juste peut-il souligner que les médecins nigériens des hôpitaux sont indépendants et que leur déontologie n’a pas à souffrir de ce genre de soupçons.
Des conditions de travail très encadrées
« Les conditions de sécurité à la mine sont catastrophiques »
La vérité :
Les conditions de travail sur les sites nigériens d’AREVA répondent aux normes les plus strictes, les mêmes que celles en vigueur au Canada ou au Kazakhstan. En termes de sécurité, les résultats des deux mines sont d’ailleurs excellents : le taux de fréquence d’accident avec arrêt a été en 2007 de 0 à Somaïr et de 3,2 à Cominak (il est voisin de 26 dans les branches d’activités salariées en France).
Une politique environnementale responsable
« Des analyses ont démontré la contamination de l’air, de l’eau et des sols »
La vérité :
Sur ses sites et dans leur voisinage, AREVA réalise ou fait réaliser régulièrement des audits en matière de sûreté et d’environnement. En 2004 et 2005, le groupe a sollicité l'IRSN, expert public français en matière de sûreté et de radioprotection, pour plusieurs études sur la surveillance de l'environnement. L’IRSN a conclu que le système de surveillance de l’environnement des deux sociétés était cohérent et conforme aux standards internationau
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