Écoutez les confidences de Florence Cassez depuis sa cellule mexicaine
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Écoutez les confidences de Florence Cassez depuis sa cellule mexicaine
Écoutez les confidences de Florence Cassez depuis sa cellule mexicaine
Voici quelques extraits de l'interview exclusive de Florence Cassez. La Française emprisonnée au Mexique revient sur la médiatisation orchestrée de son arrestation par la police mexicaine et sur son incarcération .
Son arrestation, sous l'oeil des caméras : "on m'a dit de jouer la surprise"
La vie en prison : "ça reste très dur"
Être innocente : "me donne une force terrible et peut me détruire"
Le Point a réussi à joindre par téléphone durant quarante-cinq minutes Florence Cassez depuis sa prison à Mexico City.
Le Point : Comment réagissez-vous à votre condamnation ?
Florence Cassez : J'ai la rage, car j'ai eu droit à une mascarade de justice. Mon procès a duré trois mois. Trois longs mois durant lesquels je n'ai vu la présidente qu'une fois. Ensuite, j'ai attendu durant 90 jours le délibéré. Que s'est-il passé durant tout ce temps ? Le 25 avril, quelques heures avant ma condamnation, j'ai reçu en prison la visite du consul général de France à Mexico. Il était convaincu que j'allais obtenir un non-lieu l'après-midi et être libérée durant le week-end. Il m'a présenté son assistante pour que je la contacte dès ma sortie. Il a envoyé un mail à mon frère pour voir si j'avais réservé un billet d'avion pour Paris. C'était le cas. Ma mère avait même pris un rendez-vous le 9 mai chez un médecin en France. Elle a annulé...
Vous venez de faire appel. Qu'espérez-vous ?
Mon premier procès était public, on a vu pour quel résultat. Le second ne le sera pas. Cela va-t-il changer quelque chose ? Mon avocat mexicain m'avait demandé de ne pas médiatiser mon affaire. Moins il y avait de bruit autour de moi, mieux c'était. J'ai fait l'erreur de l'écouter. C'est fini. Désormais je vais parler aux médias. Le temps presse, car je ne tiendrai pas très longtemps en prison. Le matin, lorsque je me réveille dans ma cellule, je me dis que je suis innocente et cela me donne la force de me lever. Mais le soir, quand je me couche, je me dis que, malgré mon innocence, je vais encore passer une nuit ici et j'ai des mauvaises pensées. (Elle pleure.) Mon innocence, à la fois elle me donne une force terrible et elle me détruit. (Elle pleure, se reprend.) Mon dossier est truffé d'incohérences. Un enfant de 12 ans le verrait.
Vous criez votre innocence, mais comment avez-vous pu ignorer ce que faisait Israël Vallarta ?
Je n'ai vécu que deux ou trois mois avec lui, dans son ranch. C'est mon frère qui me l'a présenté lorsque je travaillais pour lui. C'était un de ses clients. Notre relation a débuté fin octobre 2004 et s'est terminée moins d'un an après. Pendant presque tout ce temps, nous habitions chacun de son côté. En plus, tout l'été 2005, je l'ai passé en France, chez mes parents. On se voyait peu, chacun avait son travail. Pour moi, il était vendeur de voitures. Il achetait des flottes de véhicules en mauvais état, ses frères les réparaient et lui les revendait. Les voitures existaient bel et bien, car je les voyais passer. Je n'ai jamais douté, pas un instant... Un proverbe mexicain dit : Piensa mal y acertaras [Pense mal, tu t'approcheras de la vérité]. Moi je ne pense jamais mal, je fais confiance aux gens. Sans doute suis-je trop droite et naïve. Mon père, qui était patron d'une entreprise de textile comme l'était avant lui mon grand-père, ne m'a pas élevée dans le mensonge. Je n'ai jamais pensé voler quoi que ce soit, même pas une tablette de chocolat. En fait, je n'ai pas été préparée à rencontrer un type comme Israël.
Vous lui en voulez ?
Je préfère ne pas en parler, car je ne serais pas objective. J'ai trop souffert à cause de lui. En plus, on était séparés depuis plus d'un mois lorsque nous avons été arrêtés. En juillet 2005, j'avais quitté mon appartement pour passer l'été en France. Dans ma tête, c'était déjà fini. À mon retour, en septembre, je suis allée vivre chez lui, le temps de trouver un nouveau travail - hôtesse d'accueil dans un palace - et un appartement. Deux mois plus tard, j'étais partie. En fait, je me suis très vite lassée d'Israël. J'ai compris qu'il n'était pas du tout pour moi. Moi, j'avais besoin d'une relation stable, et lui ne l'était pas. En plus, il avait déjà deux gamins d'un premier mariage.
En France, vous étiez directrice de magasin. Pourquoi avoir tout quitté en 2004 pour partir au Mexique ?
J'avais 28 ans, mon frère y vivait depuis dix ans. J'y étais allée avec mes parents, le Mexique me plaisait. C'est un pays de couleurs et de vie. Je parlais l'anglais mais pas l'espagnol, c'était l'occasion d'apprendre une troisième langue. Aujourd'hui je maîtrise parfaitement la langue, je pourrais rentrer (rires).
Dans quelles circonstances avez-vous été arrêtée ?
C'était sur la route de Mexico, nous étions dans une camionnette avec Israël, nous venions de récupérer mes derniers meubles dans son ranch. Des travaux barraient la route, nous nous sommes arrêtés. D'un coup, des ouvriers se sont rués dans la voiture en jetant une couverture sur la tête d'Israël et en le frappant. Des policiers sont alors sortis de nulle part pour s'engouffrer dans le véhicule qui est aussitôt parti en trombe. Dix minutes plus tard environ, on m'a fait changer de véhicule. J'ai passé l'après-midi et la nuit qui ont suivi assise à l'arrière, dans le noir. Une policière en civil m'a expliqué qu'ils suivaient Israël depuis six mois, elle m'a montré des photos de lui avec plein de gens que je ne connaissais pas. Je ne comprenais rien. Vers 4 heures du matin, les policiers ont reçu un coup de fil. Et la camionnette est repartie en trombe, sirène hurlante. On s'est à nouveau arrêtés. C'est là que tout a basculé. Je me suis retrouvée dans le ranch d'Israël, avec des policiers partout, armés et cagoulés. Un hélicoptère survolait le ranch. Israël était dans un coin, par terre, il nageait dans son sang et son vomi. On m'a fait m'asseoir dans une autre pièce. Des policiers ont installé des armes autour de moi et ont sorti des photos récupérées dans mon appartement. Les policiers ont allumé une télévision. L'un d'entre eux m'a obligée à baisser la tête en m'ordonnant de ne la relever que lorsque la porte en face de moi s'ouvrirait. On a conduit Israël à mes côtés. Tout à coup la porte s'est ouverte avec fracas, des tas de policiers ont pénétré dans la pièce, des caméras derrière eux. Avec Israël, nous nous sommes vus sur l'écran télé, nous étions en direct sur la télévision mexicaine. En dehors du champ des caméras, un homme en costume, brun, la quarantaine, me frappait en me tenant par les cheveux. Il voulait que je dise à la télé que j'étais dans le ranch en train de surveiller les prisonniers lorsque les policiers étaient arrivés. J'ai été frappée à plusieurs reprises, mais je n'ai rien dit. À côté de moi, Israël a avoué devant les caméras qu'il avait kidnappé ces gens pour de l'argent. Il ne m'a jamais accusée, ni là ni après. Lors de sa première audition, il a expliqué aux enquêteurs que j'ignorais tout de ses activités. Puis par la suite il s'est rétracté, affirmant qu'il était lui aussi innocent.
Comment êtes-vous parvenue à dénoncer ce montage ?
Le 5 février 2005, je tombe en prison sur l'émission de Denise Maerker, une journaliste célèbre au Mexique. J'entends Enero Garcia Luna, le directeur de l'Agence fédérale d'investigation, vanter les exploits de son service en s'appuyant sur mon affaire. Il explique, images à l'appui, que son service nous a interpellés le 9 décembre 2005 dans le ranch d'Israël pour sauver quatre personnes kidnappées. Je suis folle de rage. J'ai l'idée de téléphoner à la journaliste et je parviens à lui parler. Là, en direct, j'explique comment on m'a séquestrée dans un véhicule de police pendant vingt-quatre heures, pour monter un événement médiatique autour de mon arrestation. Scandale ! Cinq jours plus tard, les autorités mexicaines sont obligées de reconnaître la vérité. Depuis je le paie, ma condamnation, c'est une façon de blanchir l'Afi.
Comment ça se passe en prison ?
Au début, ça a été très dur. Je suis restée durant trois mois à l'isolement dans une cellule espionnée par une caméra. Pendant tout ce temps je n'ai pas eu droit à un avocat. Lorsque j'ai pu en obtenir un, il n'a rien fait. J'ai été transférée ensuite à Santa Marta, une prison pour femmes, très dure. J'y ai subi le traitement des détenus dangereux. Aujourd'hui ça va mieux. On me traite comme les autres. Il y a beaucoup de violence, mais je me fais la plus petite possible...
Par Jean-Michel Décugis
Écoutez les confidences de Florence Cassez depuis sa cellule mexicaine
Florence Cassez © SIPA
Commentaires :
Claudep
Qui sème le vent
jeudi 15 mai | 09:30
Il serait temps de se soucier des personnes qui doivent réellement être sauvées plutôt que de personnes irresponsables qui, une fois en prison, demandent à l'Etat français d'assumer leurs erreurs. Un peu facile d'aller à l'étranger en croyant qu'on peut y faire tout et n'importe quoi et que le gouvernement viendra à la rescousse en cas de pépin.
AG
Pauvre chérie...
jeudi 15 mai | 09:02
Voilà ce que c'est de fricoter avec un malfrat. On ne versera pas une seule larme sur ton sort.
Marie de Chartres
Bon encore une...
mercredi 14 mai | 19:42
... à sauver, ça commence à bien faire, il faudrait bien que chacun prenne ses responsabilités et arrête de faire des c... pour ensuite demander au gouvernement de venir le chercher. Ça commence à bien faire !
Voici quelques extraits de l'interview exclusive de Florence Cassez. La Française emprisonnée au Mexique revient sur la médiatisation orchestrée de son arrestation par la police mexicaine et sur son incarcération .
Son arrestation, sous l'oeil des caméras : "on m'a dit de jouer la surprise"
La vie en prison : "ça reste très dur"
Être innocente : "me donne une force terrible et peut me détruire"
Le Point a réussi à joindre par téléphone durant quarante-cinq minutes Florence Cassez depuis sa prison à Mexico City.
Le Point : Comment réagissez-vous à votre condamnation ?
Florence Cassez : J'ai la rage, car j'ai eu droit à une mascarade de justice. Mon procès a duré trois mois. Trois longs mois durant lesquels je n'ai vu la présidente qu'une fois. Ensuite, j'ai attendu durant 90 jours le délibéré. Que s'est-il passé durant tout ce temps ? Le 25 avril, quelques heures avant ma condamnation, j'ai reçu en prison la visite du consul général de France à Mexico. Il était convaincu que j'allais obtenir un non-lieu l'après-midi et être libérée durant le week-end. Il m'a présenté son assistante pour que je la contacte dès ma sortie. Il a envoyé un mail à mon frère pour voir si j'avais réservé un billet d'avion pour Paris. C'était le cas. Ma mère avait même pris un rendez-vous le 9 mai chez un médecin en France. Elle a annulé...
Vous venez de faire appel. Qu'espérez-vous ?
Mon premier procès était public, on a vu pour quel résultat. Le second ne le sera pas. Cela va-t-il changer quelque chose ? Mon avocat mexicain m'avait demandé de ne pas médiatiser mon affaire. Moins il y avait de bruit autour de moi, mieux c'était. J'ai fait l'erreur de l'écouter. C'est fini. Désormais je vais parler aux médias. Le temps presse, car je ne tiendrai pas très longtemps en prison. Le matin, lorsque je me réveille dans ma cellule, je me dis que je suis innocente et cela me donne la force de me lever. Mais le soir, quand je me couche, je me dis que, malgré mon innocence, je vais encore passer une nuit ici et j'ai des mauvaises pensées. (Elle pleure.) Mon innocence, à la fois elle me donne une force terrible et elle me détruit. (Elle pleure, se reprend.) Mon dossier est truffé d'incohérences. Un enfant de 12 ans le verrait.
Vous criez votre innocence, mais comment avez-vous pu ignorer ce que faisait Israël Vallarta ?
Je n'ai vécu que deux ou trois mois avec lui, dans son ranch. C'est mon frère qui me l'a présenté lorsque je travaillais pour lui. C'était un de ses clients. Notre relation a débuté fin octobre 2004 et s'est terminée moins d'un an après. Pendant presque tout ce temps, nous habitions chacun de son côté. En plus, tout l'été 2005, je l'ai passé en France, chez mes parents. On se voyait peu, chacun avait son travail. Pour moi, il était vendeur de voitures. Il achetait des flottes de véhicules en mauvais état, ses frères les réparaient et lui les revendait. Les voitures existaient bel et bien, car je les voyais passer. Je n'ai jamais douté, pas un instant... Un proverbe mexicain dit : Piensa mal y acertaras [Pense mal, tu t'approcheras de la vérité]. Moi je ne pense jamais mal, je fais confiance aux gens. Sans doute suis-je trop droite et naïve. Mon père, qui était patron d'une entreprise de textile comme l'était avant lui mon grand-père, ne m'a pas élevée dans le mensonge. Je n'ai jamais pensé voler quoi que ce soit, même pas une tablette de chocolat. En fait, je n'ai pas été préparée à rencontrer un type comme Israël.
Vous lui en voulez ?
Je préfère ne pas en parler, car je ne serais pas objective. J'ai trop souffert à cause de lui. En plus, on était séparés depuis plus d'un mois lorsque nous avons été arrêtés. En juillet 2005, j'avais quitté mon appartement pour passer l'été en France. Dans ma tête, c'était déjà fini. À mon retour, en septembre, je suis allée vivre chez lui, le temps de trouver un nouveau travail - hôtesse d'accueil dans un palace - et un appartement. Deux mois plus tard, j'étais partie. En fait, je me suis très vite lassée d'Israël. J'ai compris qu'il n'était pas du tout pour moi. Moi, j'avais besoin d'une relation stable, et lui ne l'était pas. En plus, il avait déjà deux gamins d'un premier mariage.
En France, vous étiez directrice de magasin. Pourquoi avoir tout quitté en 2004 pour partir au Mexique ?
J'avais 28 ans, mon frère y vivait depuis dix ans. J'y étais allée avec mes parents, le Mexique me plaisait. C'est un pays de couleurs et de vie. Je parlais l'anglais mais pas l'espagnol, c'était l'occasion d'apprendre une troisième langue. Aujourd'hui je maîtrise parfaitement la langue, je pourrais rentrer (rires).
Dans quelles circonstances avez-vous été arrêtée ?
C'était sur la route de Mexico, nous étions dans une camionnette avec Israël, nous venions de récupérer mes derniers meubles dans son ranch. Des travaux barraient la route, nous nous sommes arrêtés. D'un coup, des ouvriers se sont rués dans la voiture en jetant une couverture sur la tête d'Israël et en le frappant. Des policiers sont alors sortis de nulle part pour s'engouffrer dans le véhicule qui est aussitôt parti en trombe. Dix minutes plus tard environ, on m'a fait changer de véhicule. J'ai passé l'après-midi et la nuit qui ont suivi assise à l'arrière, dans le noir. Une policière en civil m'a expliqué qu'ils suivaient Israël depuis six mois, elle m'a montré des photos de lui avec plein de gens que je ne connaissais pas. Je ne comprenais rien. Vers 4 heures du matin, les policiers ont reçu un coup de fil. Et la camionnette est repartie en trombe, sirène hurlante. On s'est à nouveau arrêtés. C'est là que tout a basculé. Je me suis retrouvée dans le ranch d'Israël, avec des policiers partout, armés et cagoulés. Un hélicoptère survolait le ranch. Israël était dans un coin, par terre, il nageait dans son sang et son vomi. On m'a fait m'asseoir dans une autre pièce. Des policiers ont installé des armes autour de moi et ont sorti des photos récupérées dans mon appartement. Les policiers ont allumé une télévision. L'un d'entre eux m'a obligée à baisser la tête en m'ordonnant de ne la relever que lorsque la porte en face de moi s'ouvrirait. On a conduit Israël à mes côtés. Tout à coup la porte s'est ouverte avec fracas, des tas de policiers ont pénétré dans la pièce, des caméras derrière eux. Avec Israël, nous nous sommes vus sur l'écran télé, nous étions en direct sur la télévision mexicaine. En dehors du champ des caméras, un homme en costume, brun, la quarantaine, me frappait en me tenant par les cheveux. Il voulait que je dise à la télé que j'étais dans le ranch en train de surveiller les prisonniers lorsque les policiers étaient arrivés. J'ai été frappée à plusieurs reprises, mais je n'ai rien dit. À côté de moi, Israël a avoué devant les caméras qu'il avait kidnappé ces gens pour de l'argent. Il ne m'a jamais accusée, ni là ni après. Lors de sa première audition, il a expliqué aux enquêteurs que j'ignorais tout de ses activités. Puis par la suite il s'est rétracté, affirmant qu'il était lui aussi innocent.
Comment êtes-vous parvenue à dénoncer ce montage ?
Le 5 février 2005, je tombe en prison sur l'émission de Denise Maerker, une journaliste célèbre au Mexique. J'entends Enero Garcia Luna, le directeur de l'Agence fédérale d'investigation, vanter les exploits de son service en s'appuyant sur mon affaire. Il explique, images à l'appui, que son service nous a interpellés le 9 décembre 2005 dans le ranch d'Israël pour sauver quatre personnes kidnappées. Je suis folle de rage. J'ai l'idée de téléphoner à la journaliste et je parviens à lui parler. Là, en direct, j'explique comment on m'a séquestrée dans un véhicule de police pendant vingt-quatre heures, pour monter un événement médiatique autour de mon arrestation. Scandale ! Cinq jours plus tard, les autorités mexicaines sont obligées de reconnaître la vérité. Depuis je le paie, ma condamnation, c'est une façon de blanchir l'Afi.
Comment ça se passe en prison ?
Au début, ça a été très dur. Je suis restée durant trois mois à l'isolement dans une cellule espionnée par une caméra. Pendant tout ce temps je n'ai pas eu droit à un avocat. Lorsque j'ai pu en obtenir un, il n'a rien fait. J'ai été transférée ensuite à Santa Marta, une prison pour femmes, très dure. J'y ai subi le traitement des détenus dangereux. Aujourd'hui ça va mieux. On me traite comme les autres. Il y a beaucoup de violence, mais je me fais la plus petite possible...
Par Jean-Michel Décugis
Écoutez les confidences de Florence Cassez depuis sa cellule mexicaine
Florence Cassez © SIPA
Commentaires :
Claudep
Qui sème le vent
jeudi 15 mai | 09:30
Il serait temps de se soucier des personnes qui doivent réellement être sauvées plutôt que de personnes irresponsables qui, une fois en prison, demandent à l'Etat français d'assumer leurs erreurs. Un peu facile d'aller à l'étranger en croyant qu'on peut y faire tout et n'importe quoi et que le gouvernement viendra à la rescousse en cas de pépin.
AG
Pauvre chérie...
jeudi 15 mai | 09:02
Voilà ce que c'est de fricoter avec un malfrat. On ne versera pas une seule larme sur ton sort.
Marie de Chartres
Bon encore une...
mercredi 14 mai | 19:42
... à sauver, ça commence à bien faire, il faudrait bien que chacun prenne ses responsabilités et arrête de faire des c... pour ensuite demander au gouvernement de venir le chercher. Ça commence à bien faire !
alpha- Journalistes
-
Nombre de messages : 372
Age : 34
Date d'inscription : 28/02/2008
Niveau de Courtoisie:
Gérer par le Tribunal:
(14/14)
Argent de poche:
(0/100)
Re: Écoutez les confidences de Florence Cassez depuis sa cellule mexicaine
qu'elle belle mascarade
pourquoi on entendre pas parler
en france?
pourquoi on entendre pas parler
en france?
avec-amour-et-paix- Journalistes
-
Nombre de messages : 3537
Age : 61
Localisation : montpellier
Humeur : belle
tendances politiques : anarchiste
Date d'inscription : 18/02/2008
Niveau de Courtoisie:
Gérer par le Tribunal:
(14/14)
Argent de poche:
(0/100)
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