IRAK :Un photographe de l'AP détenu depuis deux ans

Un photographe de l'AP détenu depuis deux ans
NOUVELOBS.COM | 12.04.2008 | 15:35
Si l'essentiel des accusations pour faits de terrorisme portées contre lui ont été abandonnées par la justice irakienne, il devra attendre la décision finale du Pentagone pour retrouver la liberté.

Manifestation pour la libération de Bilal Hussein (AP)

Manifestation pour la libération de Bilal Hussein (AP)
Le photographe irakien de l'Associated Press Bilal Hussein est entré samedi 12 avril dans sa troisième année de détention dans une prison militaire américaine en Irak. Si l'essentiel des accusations pour faits de terrorisme portées contre lui ont été abandonnées par la justice irakienne, il devra attendre la décision finale du Pentagone avant d'espérer retrouver la liberté.
Une commission judiciaire irakienne a jugé lundi que les faits reprochés au journaliste irakien entraient dans le cadre de la loi d'amnistie votée voilà deux mois avec l'aval de Washington, qui permet de clore des procédures sans jugement.
Cette décision a été saluée par les organisations de protection de la liberté de la presse, dont Reporters sans frontières (RSF), qui ont appelé à la libération immédiate de Bilal Hussein, 36 ans, en détention depuis qu'il a été arrêté par des Marines américains le 12 avril 2006 à Ramadi, à 113km à l'ouest de Bagdad.

Des contacts avec les ravisseurs

L'amnistie pourrait toutefois ne pas couvrir l'accusation selon laquelle Bilal Hussein aurait eu des contacts avec les ravisseurs du ressortissant italien Salvatore Santoro. En décembre 2004, le journaliste avait photographié le corps sans vie de l'Italien à côté duquel se tenaient deux hommes armés et masqués.
Ancien commerçant de Falloujah, d'abord employé comme soutien logistique par l'AP puis comme photographe après une formation en 2004, Bilal Hussein est un des trois journalistes que des insurgés irakiens avaient obligés, sous la menace de leurs armes, à venir voir la dépouille de l'Italien. Aucun de ces reporters n'a cependant assisté à la mort de Santoro, a assuré le directeur du département photo de l'AP, Santiago Lyon.
Jeudi, le lieutenant Kenneth Marshall, porte-parole des services de détention de l'armée américaine en Irak, a fait savoir que le photographe resterait incarcéré jusqu'à l'examen du jugement d'amnistie par le département américain de la Défense.

"Un risque pour la sécurité"

Les autorités américaines font également valoir qu'un mandat des Nations unies -qui doit expirer cette année- les autorise à maintenir en détention un individu qu'elles considèrent comme un risque pour la sécurité, même si la justice irakienne a ordonné sa remise en liberté
Tout au long de sa détention, Bilal Hussein n'a cessé de clamer son innocence, répétant qu'il ne faisait qu'exercer en zone de guerre son métier de photographe professionnel pour une agence d'information. Reconnu par ses pairs, il faisait partie de l'équipe de photographes d'AP récompensée en 2005 par un prix Pulitzer.
"Nous pensons que la détention de Bilal fait suite à une opération de l'armée américaine qui visait à empêcher la couverture d'événements de la guerre qui ne se passaient pas bien", a souligné le mois dernier le PDG d'AP Tom Curley, réclamant lui aussi la libération immédiate du photographe de l'agence. (AP)

Regarde, oui je trouve ca triste, mais je m`en fout!

Il y a plein d`autre otage détenu un peut partout.

Faire de quoi pour un, c`est ignorer l`autre.

Alors, je les ignore tous.

Puis ton journaliste, bien il travail pour la CIA?

Qui sais? Pas savoire.

L`histoire nous dit; Qu`il y a u des agents de la CIA, qui on été pris en ottages.

$$$$$$$$$$$$$$ peut acheter un journaliste!?

Alors, moi je me mouille pas!!

Peut être pour un travaille humanitaire.

Journalistes ou des travailleurs de causes.

Bien c`est sur que non.

Hussein Bilal avait été arrêté par des soldats américains .le 12 avril 2006 dans l'appartement où il logeait à Ramadi, dans l'ouest irakien.pour "raisons de sécurité". Il est suspecté d’entretenir des relations avec des insurgés irakiens. Il a ensuite été transféré dans un camp américain, près de l'aéroport de Bagdad. Il y était autorisé à recevoir des visites de sa famille, de ses avocats et des représentants de l'AP.

il faisait partie de l'équipe de photographes d'AP récompensée en 2005 par un prix Pulitzer.

on na pas le droit ,sur des suspection
de détenir un Homme en Irak par l'armée américaine depuis deux ans
sans preuve
et les droits de l'Homme ,pas pour les américains?

bien moi je m`en fou.

Les américain ce donne tous les droits.

Je suis d`accore.

Ou que je ne suis pas d`accore, sais pour quoi lui, plus qu`un autres.

Il y en n`a par tous, des ottages ou (prisonier ) les américain son des merdeux qui ce prène pour le nombris du monde.

Mais pour ton pot, bien, je te répete que je m`en fou.

pareille que quant moi, j`irrai en prison pour ma cause, tout le monde vons en foute. et pareille pour ton photographe il va ce foute de moi.