Pour ou Contre l'Uniforme dans les écoles ?

ha ben, oui on va dire que je suis fatiguer ce soir!

merci de ta venus

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avec-amour-et-paix a écrit:merci de ta venus

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sur ton ou mon forum? j'avais un forum mais, je l'ai supprimer! car, je n'ai pas le temps de m'en occupé

il est notre

avec amour et paix

Ben, non pk notre forum? je ne suis pas admin ni modérateur!

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bienvenus chez toi

mérci a vous et a demain

je pense que si au lieu de considérer l’enfant comme un être auquel nous devons bourrer la science que nous possédons, et qu’attestent les diplômes ; nous le considérions courageusement, comme un génie à qui nous devons fournir la matière de ses découvertes et les instruments de ses expériences, le résultat serait une moisson de génies.

L’éducateur libertaire doit bien être pénétré de ce principe que l’enseignement où l’enfant n’est pas le premier artisan de son éducation est plus dangereux que profitable. Il est nécessaire que l’enfant s’instruise lui-même, non seulement parce que l’assiduité forcée est nuisible à son développement, non seulement parce que ce qu’il a découvert se fixe mieux dans son esprit que ce qu’il a appris mais surtout parce que la « faculté de découvrir est la première et la plus précieuse de toutes ; celle qui veut être soignée, entretenue, développée avec le plus de soin et le plus de respect. » Ne perdons pas de vue que fournir, d’avance, des réponses à l’enfant qui ne s’interroge pas, c’est arrêter l’élan de la recherche, rendre son esprit paresseux, diminuer sa perspicacité ; c’est le mettre dans le cas de celui qui, mangeant intempestivement, ne digère plus et le pire service qu’on puisse rendre à un élève, c’est de tout lui apprendre, « parce que ceux à qui l’on a tout appris ne tirent jamais parti de leur savoir ».

L’éducateur qui étudie plus attentivement l’enfant que les programmes, a tout de suite fait cette remarque qu’il n’y a pas de méthode qui convienne à tous les enfants. Chacun réclame une culture appropriée. Toutes les facultés, y compris la mémoire, ont leur mode d’acquisition, variant d’un individu à l’autre ; celui-ci fixe ce qu’il entend, celui-là a besoin de lire pour retenir ; celui-ci observe quand il veut, celui-là quand il peut ; celui-ci les choses exactes et limitées, cet autre, les choses problématiques ; un enfant montrera une habileté égale dans toutes les branches, tandis qu’un autre marquera une tendance à se spécialiser contre laquelle échoueront les efforts les plus attentifs. Naturellement, on ne peut compter que sur l’enfant lui-même pour savoir dans quelle voie il s’engagera avec joie et passion, c’est-à-dire avec profit.

Nous avons donc vu, autant qu’on peut indiquer d’une manière générale et rapide des tendances complexes variées, les véritables aptitudes de l’enfance. Remarquons qu’elles sont profondément en rapport avec la destinée humaine, qui semble être de conquérir les forces naturelles et tâchons de nous faire une idée exacte de ce que doit être l’éducation.

S’agit-il d’apprendre à l’enfant ce que nous savons, de le mettre au courant de la découverte humaine, au point où elle est arrivée ? Oui, sans doute.
Mais aux conditions suivantes : 1° Éviter l’ennui, le dégoût, la fatigue. 2° S’assurer toujours qu’il a bien le sentiment n’est pas une chose définitive, mais une route immense et infinie sur laquelle nous l’avons modestement placé, pour qu’il aille de lui-même.

L’enseignement primaire qu’il conviendrait de prolonger jusque vers douze ou quatorze ans devrait donc être la période d’initiation. Celle où l’élève prenant contact à son gré, selon ses dispositions, avec les choses, acquérait une compréhension originale, en même temps qu’il manifesterait ses aptitudes. Donc il s’agit de le sortir brutalement de leur trou, de mettre l’élève à même de se renseigner, d’expérimenter lui-même, d’être lui-même le premier artisan de son éducation.

Ok j'ai lus mais, sa me changera pas mon avis sur l'uniforme!
je serai toujours pour !

Déchet a écrit:je pense que si au lieu de considérer l’enfant comme un être auquel nous devons bourrer la science que nous possédons, et qu’attestent les diplômes ; nous le considérions courageusement, comme un génie à qui nous devons fournir la matière de ses découvertes et les instruments de ses expériences, le résultat serait une moisson de génies.

L’éducateur libertaire doit bien être pénétré de ce principe que l’enseignement où l’enfant n’est pas le premier artisan de son éducation est plus dangereux que profitable. Il est nécessaire que l’enfant s’instruise lui-même, non seulement parce que l’assiduité forcée est nuisible à son développement, non seulement parce que ce qu’il a découvert se fixe mieux dans son esprit que ce qu’il a appris mais surtout parce que la « faculté de découvrir est la première et la plus précieuse de toutes ; celle qui veut être soignée, entretenue, développée avec le plus de soin et le plus de respect. » Ne perdons pas de vue que fournir, d’avance, des réponses à l’enfant qui ne s’interroge pas, c’est arrêter l’élan de la recherche, rendre son esprit paresseux, diminuer sa perspicacité ; c’est le mettre dans le cas de celui qui, mangeant intempestivement, ne digère plus et le pire service qu’on puisse rendre à un élève, c’est de tout lui apprendre, « parce que ceux à qui l’on a tout appris ne tirent jamais parti de leur savoir ».

L’éducateur qui étudie plus attentivement l’enfant que les programmes, a tout de suite fait cette remarque qu’il n’y a pas de méthode qui convienne à tous les enfants. Chacun réclame une culture appropriée. Toutes les facultés, y compris la mémoire, ont leur mode d’acquisition, variant d’un individu à l’autre ; celui-ci fixe ce qu’il entend, celui-là a besoin de lire pour retenir ; celui-ci observe quand il veut, celui-là quand il peut ; celui-ci les choses exactes et limitées, cet autre, les choses problématiques ; un enfant montrera une habileté égale dans toutes les branches, tandis qu’un autre marquera une tendance à se spécialiser contre laquelle échoueront les efforts les plus attentifs. Naturellement, on ne peut compter que sur l’enfant lui-même pour savoir dans quelle voie il s’engagera avec joie et passion, c’est-à-dire avec profit.

Nous avons donc vu, autant qu’on peut indiquer d’une manière générale et rapide des tendances complexes variées, les véritables aptitudes de l’enfance. Remarquons qu’elles sont profondément en rapport avec la destinée humaine, qui semble être de conquérir les forces naturelles et tâchons de nous faire une idée exacte de ce que doit être l’éducation.

S’agit-il d’apprendre à l’enfant ce que nous savons, de le mettre au courant de la découverte humaine, au point où elle est arrivée ? Oui, sans doute.
Mais aux conditions suivantes : 1° Éviter l’ennui, le dégoût, la fatigue. 2° S’assurer toujours qu’il a bien le sentiment n’est pas une chose définitive, mais une route immense et infinie sur laquelle nous l’avons modestement placé, pour qu’il aille de lui-même.

L’enseignement primaire qu’il conviendrait de prolonger jusque vers douze ou quatorze ans devrait donc être la période d’initiation. Celle où l’élève prenant contact à son gré, selon ses dispositions, avec les choses, acquérait une compréhension originale, en même temps qu’il manifesterait ses aptitudes. Donc il s’agit de le sortir brutalement de leur trou, de mettre l’élève à même de se renseigner, d’expérimenter lui-même, d’être lui-même le premier artisan de son éducation.

ci vrai ,mais l'homme n'est pas prét de ce voir comme un inculte
devant sa nature,et devant la nature

mais ils reste des humains, qui séme la semence du savoir

Déchet a écrit:je pense que si au lieu de considérer l’enfant comme un être auquel nous devons bourrer la science que nous possédons, et qu’attestent les diplômes ; nous le considérions courageusement, comme un génie à qui nous devons fournir la matière de ses découvertes et les instruments de ses expériences, le résultat serait une moisson de génies.

L’éducateur libertaire doit bien être pénétré de ce principe que l’enseignement où l’enfant n’est pas le premier artisan de son éducation est plus dangereux que profitable. Il est nécessaire que l’enfant s’instruise lui-même, non seulement parce que l’assiduité forcée est nuisible à son développement, non seulement parce que ce qu’il a découvert se fixe mieux dans son esprit que ce qu’il a appris mais surtout parce que la « faculté de découvrir est la première et la plus précieuse de toutes ; celle qui veut être soignée, entretenue, développée avec le plus de soin et le plus de respect. » Ne perdons pas de vue que fournir, d’avance, des réponses à l’enfant qui ne s’interroge pas, c’est arrêter l’élan de la recherche, rendre son esprit paresseux, diminuer sa perspicacité ; c’est le mettre dans le cas de celui qui, mangeant intempestivement, ne digère plus et le pire service qu’on puisse rendre à un élève, c’est de tout lui apprendre, « parce que ceux à qui l’on a tout appris ne tirent jamais parti de leur savoir ».

L’éducateur qui étudie plus attentivement l’enfant que les programmes, a tout de suite fait cette remarque qu’il n’y a pas de méthode qui convienne à tous les enfants. Chacun réclame une culture appropriée. Toutes les facultés, y compris la mémoire, ont leur mode d’acquisition, variant d’un individu à l’autre ; celui-ci fixe ce qu’il entend, celui-là a besoin de lire pour retenir ; celui-ci observe quand il veut, celui-là quand il peut ; celui-ci les choses exactes et limitées, cet autre, les choses problématiques ; un enfant montrera une habileté égale dans toutes les branches, tandis qu’un autre marquera une tendance à se spécialiser contre laquelle échoueront les efforts les plus attentifs. Naturellement, on ne peut compter que sur l’enfant lui-même pour savoir dans quelle voie il s’engagera avec joie et passion, c’est-à-dire avec profit.

Nous avons donc vu, autant qu’on peut indiquer d’une manière générale et rapide des tendances complexes variées, les véritables aptitudes de l’enfance. Remarquons qu’elles sont profondément en rapport avec la destinée humaine, qui semble être de conquérir les forces naturelles et tâchons de nous faire une idée exacte de ce que doit être l’éducation.

S’agit-il d’apprendre à l’enfant ce que nous savons, de le mettre au courant de la découverte humaine, au point où elle est arrivée ? Oui, sans doute.
Mais aux conditions suivantes : 1° Éviter l’ennui, le dégoût, la fatigue. 2° S’assurer toujours qu’il a bien le sentiment n’est pas une chose définitive, mais une route immense et infinie sur laquelle nous l’avons modestement placé, pour qu’il aille de lui-même.

L’enseignement primaire qu’il conviendrait de prolonger jusque vers douze ou quatorze ans devrait donc être la période d’initiation. Celle où l’élève prenant contact à son gré, selon ses dispositions, avec les choses, acquérait une compréhension originale, en même temps qu’il manifesterait ses aptitudes. Donc il s’agit de le sortir brutalement de leur trou, de mettre l’élève à même de se renseigner, d’expérimenter lui-même, d’être lui-même le premier artisan de son éducation.

Parfait ce que tu as dit , j'adore

A voté .
Je suis contre.
Les parents (les gens sont libre de s'habillé comme il le souhaite)

Eventuellement si le probléme vient du fait d'une certaine jalousie entre les marques de vétement , c'est avant tout au parent de faire comprendre à leurs enfants que touts le monde n'a pas les moyen de s'habillé avec de la marque.

Non, a l'ecole pas de marque ou sous marque tous pareil !
alors, le jeune qui est gotique ou Nazion on va pas l'interdire au nom de sa politique ou même de sa religion !
vous allez me dire chaqu'un et libre et ont doit le respect de l'enfant ou du jeune ados!
je suis pour une égalité entre enfants ou jeunes ados !
puis, l'uniforme ne tue pas que je sache! sa rend tous égaux en droit en u n devoir vis a vis de la nation !

Je suis désolé mais nous sommes en 2008 .
On ne peut pas revenir à des pratiques qui date .
Mes enfants sont habillé proprement et simplement et ils se contre fou de savoir si les gens porte de la marque ou pas .

La république ils faut la respecter!
en Angleterre j'ai déjà dit que sa se pratique et c'est jeunes ne sont pas pour au temps mort! et scandaliser !
et sa change leur éducation pour respect et l'ordre! se qu'ils ne sa passe pas aujourd'hui!
c'est le désordre! l'anarchie !
voila! le débat et clos! je ne reviens plus sur le sujet!

Mais je me contre fou de ta république bidon .
Moi je respect que les bonnes régles de france et non pas de nos voisins .
A croire que la france n'a plus d'idée faute de recopier sur ses pays voisins .
N'importe quoi .

Le_simple a écrit:Mais je me contre fou de ta république bidon .
Moi je respect que les bonnes régles de france et non pas de nos voisins .
A croire que la france n'a plus d'idée faute de recopier sur ses pays voisins .
N'importe quoi .

tu es bien de gauche avec ton avatar!
puis, FABIUS avec le sang contaminer enfin, voila! j'en dirais pas plus !

le débat et clos!

force-nationale a écrit:

Le_simple a écrit:Mais je me contre fou de ta république bidon .
Moi je respect que les bonnes régles de france et non pas de nos voisins .
A croire que la france n'a plus d'idée faute de recopier sur ses pays voisins .
N'importe quoi .

tu es bien de gauche avec ton avatar!
puis, FABIUS avec le sang contaminer enfin, voila! j'en dirais pas plus !

le débat et clos!

Parce que ton mouvement à les pattes blanche peut étre?
Reste tranquille au lieux de dire des sautises (enfin sa n'est que un point de détail rien de plus) :lol:
Le debat sera clos si j'en ai envie ok?

Le Front National na jamais mis les mains dans le caisse de l'état !!

Forcement il n'a jamais eu le pouvoir .
Cela dit la question et de savoir pourquoi que bon nombres de ses maires , ne sont généralement pas réelu.
Pris la main dans le sac version mégret.......

Faux Bompard est toujours réélu a chaque fois est Mégret ( MNR) est financer par l'UMP! tout comme le MPF !

je suis pour l'uniforme car, cela permet d'effacer les différence !
et de pouvoir évite les moquerie a cause de ceux qui non pas de marque vis a vis des autres! et pour le respect de l'école de la République .

en Angleterre ils s'utilise aussi l'uniforme et ils ni ya pas de problème !

aussi je suis pour le respect des maitre! et que l'élève ne tutoie plus le professeur !
et vis et versa! car, le professeur n'est pas un pote !

est pour finir que l'élève des que le professeur ou le directeur rentre dans la classe les élèves doivent se lever !
est se rassoie dés que le professeur ou le directeur leur demande de se rassoir

Je réve

Non c'est ça une vrai école de la république!

C'est votre façon de voir les choses à droite .
Mais pas c'elle de la gauche majoritaire dans notre pays .
La république c'est une france libre...

Oui libre ! mais, la France et gouverner par la majorité UMP!