Merveilleuses assocs...De son côté, un membre de la belle-famille du député de l’Essonne aurait touché
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Merveilleuses assocs...De son côté, un membre de la belle-famille du député de l’Essonne aurait touché
Merveilleuses assocs...De son côté, un membre de la belle-famille du député de l’Essonne aurait touché
24/12/2008 - 19h00
PARIS (NOVOpress) - Julien Dray aurait touché d’importantes sommes d’argent de la part de chefs d’entreprise de sa circonscription. De nouveaux noms de bénéficiaires présumés s’ajoutent à la liste déjà établie par l’organisme anti-blanchiment TracFin .
Deux proches de Julien Dray - Nathalie Fortis, chargée à la fois des relations presse de SOS Racisme et du député socialiste, et Thomas Persuy, directeur administratif et financier des potes, tous deux également mandataires de la Fidl - auraient empochés des sommes importantes de ces deux associations, 135.505 euros selon Le Canard, 127.377 euros selon Le Parisien qui s’appuie sur le rapport de Tracfin - encaissés entre janvier 2006 et septembre 2008.
On évoque d’autres noms de bénéficiaires présumés parmi lesquels Dominique Bouissou, ex-assistante parlementaire de Dray et aujourd’hui attachée de presse de Ségolène Royal, qui aurait touché 6.500 euros de la part de SOS Racisme, sans précision sur le mode de paiement.
De son côté, un membre de la belle-famille du député de l’Essonne aurait touché un chèque de 5.000 euros de la part de SOS Racisme. « Plusieurs personnes dans l’entourage de Julien Dray avaient procuration sur les comptes des associations », indique une source proche du dossier au Parisien.
Le Parisien et Le Canard pointent également du doigt des transferts d’argent des comptes de Nathalie Fortis et Thomas Persuy vers ceux de Julien Dray pour un montant de 102.985 euros
Citant Tracfin, Le Parisien évoque un chèque de 12.500 euros émis par les Parrains de SOS Racisme à destination d’un proche de Dray, Marc Rozenblat, ancien président de l’Unef-ID (ancienne branche de l’actuelle Unef. Le journal évoque aussi le versement par Rozenblat d’une somme de 6000 euros à Nathalie Fortis. « Il s’agit d’une somme prêtée à Nathalie, meilleure amie de ma femme », répond cette fois l’ancien président de l’Unef-ID. Nathalie Fortis aurait, toujours selon Le Parisien, également perçu un chèque de 20.000 euros de la part d’un producteur de musique, Éric Basset, « vieux compagnon de route du PS et de SOS Racisme ».
Selon Le Canard Enchaîné, une somme de 78.300 euros aurait atterri sur le compte de Julien Dray, en provenance de chefs d’entreprises ayant auraient obtenu des marchés. Julien Dray a l’explication : « Ce sont des amis. De vieux potes (sic). Quand j’ai un passage difficile, c’est vrai, je les tape. Depuis des années ». À la question de savoir s’il les rembourse, Dray répond :« Heu … pas toujours ! »…
Alors qu’il croule sous une avalanche de « mauvais chiffres », Julien Dray porte plainte pour « diffamation », vient d’annoncer son avocat, Me Lev Forster…
Mardi, l’ organisation lycéenne Fidl a dénoncé « une tentative de déstabilisation » en période de «mobilisation» des lycéens contre le projet de réforme du lycée…
Une affaire qui met dans une lumière crue le mode de fonctionnement très particulier du Parti socialiste…
[cc] Novopress.info, 2008, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source
Affaires SOS-Racisme-Fidl : Dray dans l’étau
*********************************
Affaire Julien Dray: les dernières révélations
December 24th, 2008 / Commenter (2 Commentaires)
·
Un Noël amer pour Julien Dray : ces révélations sont à la une du Parisien-Aujourd’hui en France pour qui le député socialiste de l’Essonne, soupçonné de détournements de fonds, est plus que jamais dans la tourmente judiciaire.
Pour François Vignolle et Geoffroy Tomasovitch dans le Parisien, l’affaire ne touche plus seulement Julien Dray, mais la liste des bénéficiaires s’allonge. Parmi eux, des particuliers, des proches et des entrepreneurs de l’Essonne, le département de Julien Dray.
Parmi les nouveaux noms qui apparaissent dans cette enquête du Parisien-Aujourd’hui en France, celui de l’attachée de presse de Ségolène Royal, pour une somme de 6500 euros, qui aurait été versée par des Parrains de SOS-Racisme. Le nom aussi d’un d’un producteur de musique antillaise, Eric Basset, présenté par le Parisien comme un vieux compagnon de route du PS et de SOS-Racisme, qui a produit notamment Zouk Machine ou Kassav. Les enquêteurs s’interrogeraient sur un curieux chèque de 20 000 euros émis par le producteur au bénéfice de Nathalie Fortis, chargée des relations presse de Julien Dray.
Le Canard Enchaîné n’est pas en reste dans cet étalage de ce qu’il appelle les comptes fantastiques de Julien Dray, et il ne s’agit pas de conte de Noël : selon le Canard, Julien Dray, en plus de sa passion des montres coûteuses, a aussi ses habitudes dans les bijouteries et les boutiques de luxe et les palaces, et même chez le chausseur Berlutti, Berlutti, le chausseur des fameuses bottines de Roland Dumas en pleine affaire Elf.
Dans le Parisien-Aujourd’hui en France, Julien Dray répond qu’il est persuadé d’être victime d’une manipulation, et qu’il va rendre coup pour coup, tandis que son avocat dénonce une nouvelle fois les atteintes à la présomption d’innocence.
24/12/2008 - 19h00
PARIS (NOVOpress) - Julien Dray aurait touché d’importantes sommes d’argent de la part de chefs d’entreprise de sa circonscription. De nouveaux noms de bénéficiaires présumés s’ajoutent à la liste déjà établie par l’organisme anti-blanchiment TracFin .
Deux proches de Julien Dray - Nathalie Fortis, chargée à la fois des relations presse de SOS Racisme et du député socialiste, et Thomas Persuy, directeur administratif et financier des potes, tous deux également mandataires de la Fidl - auraient empochés des sommes importantes de ces deux associations, 135.505 euros selon Le Canard, 127.377 euros selon Le Parisien qui s’appuie sur le rapport de Tracfin - encaissés entre janvier 2006 et septembre 2008.
On évoque d’autres noms de bénéficiaires présumés parmi lesquels Dominique Bouissou, ex-assistante parlementaire de Dray et aujourd’hui attachée de presse de Ségolène Royal, qui aurait touché 6.500 euros de la part de SOS Racisme, sans précision sur le mode de paiement.
De son côté, un membre de la belle-famille du député de l’Essonne aurait touché un chèque de 5.000 euros de la part de SOS Racisme. « Plusieurs personnes dans l’entourage de Julien Dray avaient procuration sur les comptes des associations », indique une source proche du dossier au Parisien.
Le Parisien et Le Canard pointent également du doigt des transferts d’argent des comptes de Nathalie Fortis et Thomas Persuy vers ceux de Julien Dray pour un montant de 102.985 euros
Citant Tracfin, Le Parisien évoque un chèque de 12.500 euros émis par les Parrains de SOS Racisme à destination d’un proche de Dray, Marc Rozenblat, ancien président de l’Unef-ID (ancienne branche de l’actuelle Unef. Le journal évoque aussi le versement par Rozenblat d’une somme de 6000 euros à Nathalie Fortis. « Il s’agit d’une somme prêtée à Nathalie, meilleure amie de ma femme », répond cette fois l’ancien président de l’Unef-ID. Nathalie Fortis aurait, toujours selon Le Parisien, également perçu un chèque de 20.000 euros de la part d’un producteur de musique, Éric Basset, « vieux compagnon de route du PS et de SOS Racisme ».
Selon Le Canard Enchaîné, une somme de 78.300 euros aurait atterri sur le compte de Julien Dray, en provenance de chefs d’entreprises ayant auraient obtenu des marchés. Julien Dray a l’explication : « Ce sont des amis. De vieux potes (sic). Quand j’ai un passage difficile, c’est vrai, je les tape. Depuis des années ». À la question de savoir s’il les rembourse, Dray répond :« Heu … pas toujours ! »…
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[cc] Novopress.info, 2008, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source
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December 24th, 2008 / Commenter (2 Commentaires)
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Un Noël amer pour Julien Dray : ces révélations sont à la une du Parisien-Aujourd’hui en France pour qui le député socialiste de l’Essonne, soupçonné de détournements de fonds, est plus que jamais dans la tourmente judiciaire.
Pour François Vignolle et Geoffroy Tomasovitch dans le Parisien, l’affaire ne touche plus seulement Julien Dray, mais la liste des bénéficiaires s’allonge. Parmi eux, des particuliers, des proches et des entrepreneurs de l’Essonne, le département de Julien Dray.
Parmi les nouveaux noms qui apparaissent dans cette enquête du Parisien-Aujourd’hui en France, celui de l’attachée de presse de Ségolène Royal, pour une somme de 6500 euros, qui aurait été versée par des Parrains de SOS-Racisme. Le nom aussi d’un d’un producteur de musique antillaise, Eric Basset, présenté par le Parisien comme un vieux compagnon de route du PS et de SOS-Racisme, qui a produit notamment Zouk Machine ou Kassav. Les enquêteurs s’interrogeraient sur un curieux chèque de 20 000 euros émis par le producteur au bénéfice de Nathalie Fortis, chargée des relations presse de Julien Dray.
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alpha- Journalistes
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