Le coup de sang de Maxime Gremetz

Le coup de sang de Maxime Gremetz .La Septimanie a son Neron ,la Picardie a Boxing Max ,clone de la "Brute de Louisville"! Le "g'nieff" était la boisson de l'ouvrier
Maxime Gremetz, député communiste et conseiller régional, a frappé un élu socialiste lors de la session du conseil régional de Picardie qui s'est tenue lundi à Amiens.

Vendredi dernier, le communiste, qui n'en est pas à sa première altercation dans cette assemblée, avait empêché la tenue de la session en faisant entrer dans les locaux un enseignant en grève de la faim. La séance avait alors été ajournée et la session reportée à lundi matin. Mais la session n'a pu se tenir faute de quorum. Du coup, Maxime Gremetz s'est à nouveau emporté et il a, cette fois, frappé d'un coup de coude le socialiste Gilles Seguin, qui est tombé à la renverse. "Il s'en est pris physiquement à Gilles Seguin qu'il a bousculé et violemment jeté à terre", a affirmé le président du groupe socialiste Philippe Massein, dans un communiqué condamnant solennellement le comportement de l'élu communiste.

Après être revenu de l'hôpital, Gilles Seguin, qui a précisé souffrir "d'insuffisance respiratoire" et avoir "passé plusieurs heures en observation", a porté plainte tandis que Claude Gewerc, président du conseil régional a saisi le procureur de la République.

"Querelles intestines"

Maxime Gremetz affirme, de son côté, avoir "été agressé" et "insulté" par des membres de la majorité "très en colère" parce que "le quorum n'avait pas été atteint". "Ils se sont jetés sur moi pour me faire sortir", a-t-il déclaré ajoutant : "M. Seguin s'est aidé à tomber. Cela va de soi qu'il s'agit d'une mise en scène", a-t-il lancé, demandant la mise à disposition de l'enregistrement de la séance.

Le groupe UMP-UDF-MoDem-NC et Indépendants avait déjà déploré vendredi l'effet "des querelles intestines" entre le président du conseil régional et Maxime Gremetz. Selon l'opposition locale, les deux hommes sont engagés dans un conflit ouvert depuis plusieurs années. Lors du second tour des élections régionales de 2004, Claude Gewerc avait fusionné sa liste avec Maxime Gremetz avant de lui retirer, début 2005, sa délégation à l'emploi et l'industrie, l'accusant d'avoir été élu au conseil d'administration de l'Agence régionale d'hospitalisation, avec les voix du FN.

Par Béatrice Pujebet (à Amiens) et Chloé Durand-Parenti

Le coup de sang de Maxime Gremetz

Maxime Gremetz © IBO / SIPA
Le coup de sang de Maxime Gremetz

Oula ,
on observe un vrai divorce entre les socialiste et les communiste .
Meme la LCR et devenu ennemi du PS

que ce passe t'il dans l'opposition,on jour le chaud et le froid
c'est querelle de pouvoir ne profite qu'a la majorité
le monde politique ,quelle mascarade
a quand l'unité