Zemmour :le bon sens ,l'honneur & l'indéniable talent .
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Zemmour :le bon sens ,l'honneur & l'indéniable talent .
Zemmour :le bon sens ,l'honneur & l'indéniable talent .
Eric Zemmour est un journaliste bien connu pour ses postures qui ne caressent pas dans le sens du poil le politiquement correct. Il écrit au Figaro et distille chaque semaine ses critiques acerbes dans l’émission people de Laurent Ruquier, “On n’est pas couché”.
ZemmourSi le monde des médias a daigné accorder du crédit aux propos d’Eric Zemmour, c’est qu’outre son talent, les arguments du journaliste à l’encontre du métissage et de la mondialisation sont contrebalancés par ses origines étrangères, l’homme étant issu d’une famille de Juifs berbères. Les origines étrangères, c’est un peu un alibi contre le racisme, ce dont Zemmour est conscient, et c’est tout à son honneur.
Pourtant, bien souvent, Eric Zemmour est allé plus loin dans ses propos que ceux qui sont affublés de l’étiquette d’affreux fachos, parias des médias. Il ose se dire “anti-droit de l’hommiste”, il combat l’antiracisme (!) ainsi que l’”idéologie gay” et la féminisation de l’homme. Un vrai réac ! Mais un réac républicain souverainiste anti-européen, car attention Zemmour est bonapartiste et surtout un assimilationniste qui entend combattre le communautarisme avec vigueur. Zemmour, c’est un peu le programme du Front National tendance Marine dissimulé en journaliste de droite.
Difficile donc de voir en Eric Zemmour une figure identitaire, mais on doit reconnaître son talent, son goût pour le verbe et cette bouffée d’oxygène qu’il représente dans le monde insipide des médias français.
Mais, achtung ! [notez l’usage d’un mot en allemand, langue de boches barbares nazis racistes]. Eric Zemmour a commis l’irréparable.
Invité à débattre sur le métissage dans l’émission d’Arte du 13 novembre “Impertinente” [sic] présentée par Isabelle Giordano, l’éditorialiste a notamment déclaré qu’il existait “des races” reconnaissables “à la couleur de peau”.
Sacrilège ! Un journaliste reconnu nous explique que des races existent et qu’on peut les reconnaître à la couleur de leur épiderme. Difficile de tenir des propos plus condamnables en démocratie aujourd’hui. Souvenez-vous de Le Pen qui s’était fait fustiger en osant dire que les Noirs sont généralement meilleurs en course que les Blancs (alors qu’en réalité on sait que les Jamaïcains ou les Kenyans ont simplement la course dans le s… euh dans la p…, enfin c’est leur truc de courir quoi, c’est culturel !).
100mDu coup, branle-bas de combat chez les associations, Zemmour, qu’ils avaient dans le colimateur depuis déjà pas mal de temps, a enfin dépassé les bornes des limites.
Il est temps de faire retentir les sirènes de l’indignation républicaine : “SOS Racisme tient à faire part de sa vive réprobation suite à la réhabilitation de la théorie des races”, explique l’association dans un communiqué. “Monsieur Zemmour se permet de défendre l’existence de plusieurs races différentes au sein de l’espèce humaine en se situant, explicitement dans un ‘entre deux’ ; entre la sacralisation des races opérées par les nazis et la négation de ces dernières, présentée clairement comme un symptôme”, poursuit le communiqué.
Ahhh, Eric Zemmour, en ayant osé affirmer que des races existaient, en devient déjà un affreux nazi. Nul doute qu’il a sur sa table de chevet les livres de Rosenberg, Gobineau et peut-être un exemplaire dédicacé de censurer (pardon maman), acheté sous le manteau à un ancien SS. Qui sait, quand on tient de tels propos…
CRANAccessoirement, le CRAN (Conseil représentatifs des associations noires [sic!] de France) et le MRAP s’y mettent aussi, Zemmour participe à “banaliser cette idéologie racisante [sic!]”. Pour l’occasion, on utilise même des néologismes. Ce n’est pas raciste, ce n’est pas racialiste, tout ça est “racisant”.
Examinons de plus près la “racisation” opérée par l’affreux Zemmour, pour lequel beaucoup se demandent surement si on ne devrait pas rétablir la peine de mort.
Un journaliste d’Europe 1 a d’ailleurs réalisé un réquisitoire anti-Zemmour en appelant la “justice du système médiatique” à “frapper” l’ignoble individu.
On connaissait l’annuaire chez les flics, chez le “système médiatique” on doit probablement frapper à coups de Convention européenne des Droits de l’Homme !
Premier propos justifiant au moins la pendaison, Zemmour dit aux partisans du melting-pot que “s’il n’y a pas de race, il n’y a pas de métissage”. C’est aussi simple à comprendre que les mathématiques de maternelle, mais il semblerait que les capacités intellectuelles des détracteurs de Zemmour se heurtent à toute une série de dogmes consensuels profondément ancrés dans leur tête et qui les empêchent de faire autre chose que de prendre des postures outrées de bonne soeur tombant sur la vidéo de “2 girls 1 cup” [pour ceux qui auraient manqué ce grand moment, allez donc voir dans Google, l’estomac vide].
Second propos justifiant la torture avant exécution, lâché au détour d’un échange avec la militante associative Rokhaya Diallo : “J’ai le sentiment qu’à la sacralisation des races de la période nazie a succédé la négation des races…” et, pire encore, “J’appartiens à la race blanche, vous appartenez à la race noire !”. Ca y est, Eric l’a dit, il y a des Noirs, il y a des Blancs. On ose à peine deviner les pensées ignominieuses qui auraient pu suivre, du type : il y a des Asiatiques, des Arabes, des Océaniens, des Indiens…On pourrait les différencier grace à leur couleur de peau et à leur morphologie. On nage en plein délire n’est-ce pas, nous sommes tous pareils, il n’y a qu’une race humaine c’est ce qu’on nous a appris non ? D’ailleurs c’est marqué dans la Constitution, les citoyens sont égaux - “sans distinction de race”, qui n’existent pas - donc les différences ça n’existe pas, c’est évident.
Et puis si les recherches scientifiques démontrent qu’il existe effectivement différents groupes éthniques, ça ne veut rien dire. Et puis si des prix Nobel affirment que des différences de QI existent entre des races, ça ne veut rien dire. D’ailleurs, cette carte montrant les différences de QI entre les population n’est qu’un délire de Professeur anglais, Richard Lynn, si des gens seraient tentés de faire des recherches sur ce dangereux personnage.
Map
Si certains peuples sont plus victimes de maladies que d’autres, c’est une histoire d’environnement n’est-ce pas ? Et puis les différences linguistiques, c’est purement culturel, de même que les visions du monde inhérentes aux différentes civilisations qui peuplent la terre ne sont-elles que des constructions culturelles. Toutes ces idées horribles, on sait qu’elles sont fausses, puisque c’est illégal de penser le contraire, du moins en France.
Sauf, bien sûr, quand on est un journaliste du système et que l’on souhaite mettre en avant une race (ça n’existe pas, oups !) minoritaire et pas suffisament visible comme les “Noirs” ou que l’on est “Noir” soi-même, membre d’une association, et que l’on souhaite dire que les “Blancs” sont méchants. En somme, les races existent chez nos journalistes et leurs protégés lorsque c’est pour affirmer que l’on ne voit pas assez de “Noirs” ou d’”Arabes” (les minorités visibles [sic!]) et qu’il y a encore trop de “Blancs”, notamment à la télévision (on peut s’en étonner quand on voit le programme Plus Belle la Vie diffusé sur France 3…).
La presse française ne s’est pas formalisée de l’usage du mot “race” à l’occasion de l’élection de Barack Obama, l’homme qui a déclaré “la race est une question que notre pays ne peut se permettre d’ignorer”… Nul n’a crié au châtiment en lisant : “L’élection d’un “frère de race” à la plus haute fonction de l’État est certainement un facteur psychologique très positif pour la communauté noire (et pour les Noirs dans le monde entier).” (Le Point). Personne n’a appelé à passer à tabac ce journaliste du Monde Diplomatique qui a dit – “Si les démocrates choisissent M. Obama pour défendre leurs couleurs en novembre, son progressisme présumé a autant de chances d’être sujet à controverse que sa race.” – ou par Marianne – “Les Américains n’ont pas à choisir l’homme qui gèrera au mieux le tsunami boursier et bancaire, celui qui réformera la Sécurité sociale et mettra fin aux folles guerres d’Orient. Ils ont seulement à trancher entre deux races, la leur ou l’autre.”
Mais bon, il faut dire qu’aux Etats-Unis, les races existent, c’est officiel, alors les plumes se lâchent, contrairement à la République Une et Indivisible où nier les différences (ethniques ou culturelles) entre groupes humains est un sport républicain dont la pratique active conditionne l’existence même de la France.
Et puisque l’on évoque les Etats-Unis et que l’on a donc le droit de parler de race comme les autres journalistes français, soulignons que 90% de l’électorat noir a voté Obama. Ca n’a surement rien à voir avec la couleur de peau. Vous en doutez, sale raciste ?
SOS racisme
Cela a déjà commencé, et cela va continuer. Ces prochaines années seront celle du retour de bâton aux idéologues de l’anti-racisme. De théories racistes parfois loufoques et dangereuses on est passé après la Seconde Guerre mondiale à la négation pure et simple de l’existence de races, du moins en Europe occidentale. Car chez les autres cultures (pour ne pas dire les autres “races”) il n’y a jamais eu de remise en question de ces différences, qui paraissent évidentes et qui sont aujourd’hui largement confirmées par la recherche génétique anglo-saxonne, puisqu’en France on n’ose guère s’intéresser à cela. Les techniques actuelles permettent d’évaluer de manière fine et approfondie les différences génétiques qui existent entre individus et entre populations, de relier des individus sur des générations à des groupes ethniques bien distincts. Et ce n’est qu’un exemple parmi d’autres.
L’erreur fondamentale de l’antiracisme est d’avoir pensé que l’on pouvait dissimuler aux gens une altérité qui est évidente pour tous, même pour l’antiraciste qui s’embourbe dans ses contradictions, lorsque pour défendre ses théories ou le métissage, il est obligé d’appréhender d’une façon ou d’une autre la notion de race.
En privé, l’immense majorité des gens ont d’ailleurs toujours recours à des réflexions que le système jugerait raciste, du seul fait de l’identification d’individu par leur groupe ethnique. La réalité n’est pas ce qu’on voit à la télé, le métissage et les “minorités visibles”. Pour les gens il y aura toujours des Noirs, des Blancs, des Asiatiques, des Arabes…
Ce n’est pas du racisme, ce que dit Eric Zemmour n’a absolument rien de raciste. C’est juste un constat évident, constat qui n’est pas partagé par une caste minoritaire de la population constituée essentiellement de bobos citadins (qui sont une minorité tres visible !).
Eux ont une idéologie, et non une logique. Ils sont complètement déconnectés des réalités.
Le racisme, c’est affirmer qu’une race est supérieure à une autre, et non affirmer que des races existent.
Quand on commence à chercher à hiérarchiser et à nier les individualités on entre dans des considérations qui sont susceptibles de dérives dangereuses.
Anti-boche
Mais rappelons, en guise de conclusion, que la France a longtemps essayé de se construire une mythologie raciale et qu’elle y est en partie parvenue. Dans les livres d’histoires des années soixante on pouvait encore lire des pages consacrées à la “race française”. Nos parents ont ainsi pu lire que “les Alsaciens descendent d’une population celtique, latinisée par la domination romaine, ce qui est la définition même de la race française”. On notera que la définition est pour le moins bancale et que les Alamans qui nous ont légué l’alsacien sont passés à la trape…
Ce sont par ailleurs des anthropologues français qui ont inspirés les théories racialistes en vogue dans le courant völskisch allemand, qui influença les Nazis.
Le nationalisme “subjectif” à la française est une construction toute théorique et philosophique qui vise à servir une image idéalisée de l’Universel français. Les Français se sont bien rendus compte que pour créer un véritable nationalisme au début du XXème siècle il fallait y intégrer les données objectives de la conception allemande du nationalisme, liée notamment à la langue et la race. La France n’a donc eu de cesse de linguistiquement franciser ces barbares de Bretons et ces sales boches d’Alsaciens tout en développant l’idée qu’il existait une race française homogène.
L’hypocrisie quant à la notion de “race” en France ne date donc pas de hier. C’est un peu une tradition républicaine, ce qu’Eric Zemmour devrait savoir apprécier, lui qui se veut un Républicain réactionnaire !
Source : Jeune Alsace
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Vidéo. Les dernières découvertes en génétique moléculaire. Les races, et l’humour involontaire dans une émission scientifique de la radio France Inter. 1 min 36
Eric Zemmour est un journaliste bien connu pour ses postures qui ne caressent pas dans le sens du poil le politiquement correct. Il écrit au Figaro et distille chaque semaine ses critiques acerbes dans l’émission people de Laurent Ruquier, “On n’est pas couché”.
ZemmourSi le monde des médias a daigné accorder du crédit aux propos d’Eric Zemmour, c’est qu’outre son talent, les arguments du journaliste à l’encontre du métissage et de la mondialisation sont contrebalancés par ses origines étrangères, l’homme étant issu d’une famille de Juifs berbères. Les origines étrangères, c’est un peu un alibi contre le racisme, ce dont Zemmour est conscient, et c’est tout à son honneur.
Pourtant, bien souvent, Eric Zemmour est allé plus loin dans ses propos que ceux qui sont affublés de l’étiquette d’affreux fachos, parias des médias. Il ose se dire “anti-droit de l’hommiste”, il combat l’antiracisme (!) ainsi que l’”idéologie gay” et la féminisation de l’homme. Un vrai réac ! Mais un réac républicain souverainiste anti-européen, car attention Zemmour est bonapartiste et surtout un assimilationniste qui entend combattre le communautarisme avec vigueur. Zemmour, c’est un peu le programme du Front National tendance Marine dissimulé en journaliste de droite.
Difficile donc de voir en Eric Zemmour une figure identitaire, mais on doit reconnaître son talent, son goût pour le verbe et cette bouffée d’oxygène qu’il représente dans le monde insipide des médias français.
Mais, achtung ! [notez l’usage d’un mot en allemand, langue de boches barbares nazis racistes]. Eric Zemmour a commis l’irréparable.
Invité à débattre sur le métissage dans l’émission d’Arte du 13 novembre “Impertinente” [sic] présentée par Isabelle Giordano, l’éditorialiste a notamment déclaré qu’il existait “des races” reconnaissables “à la couleur de peau”.
Sacrilège ! Un journaliste reconnu nous explique que des races existent et qu’on peut les reconnaître à la couleur de leur épiderme. Difficile de tenir des propos plus condamnables en démocratie aujourd’hui. Souvenez-vous de Le Pen qui s’était fait fustiger en osant dire que les Noirs sont généralement meilleurs en course que les Blancs (alors qu’en réalité on sait que les Jamaïcains ou les Kenyans ont simplement la course dans le s… euh dans la p…, enfin c’est leur truc de courir quoi, c’est culturel !).
100mDu coup, branle-bas de combat chez les associations, Zemmour, qu’ils avaient dans le colimateur depuis déjà pas mal de temps, a enfin dépassé les bornes des limites.
Il est temps de faire retentir les sirènes de l’indignation républicaine : “SOS Racisme tient à faire part de sa vive réprobation suite à la réhabilitation de la théorie des races”, explique l’association dans un communiqué. “Monsieur Zemmour se permet de défendre l’existence de plusieurs races différentes au sein de l’espèce humaine en se situant, explicitement dans un ‘entre deux’ ; entre la sacralisation des races opérées par les nazis et la négation de ces dernières, présentée clairement comme un symptôme”, poursuit le communiqué.
Ahhh, Eric Zemmour, en ayant osé affirmer que des races existaient, en devient déjà un affreux nazi. Nul doute qu’il a sur sa table de chevet les livres de Rosenberg, Gobineau et peut-être un exemplaire dédicacé de censurer (pardon maman), acheté sous le manteau à un ancien SS. Qui sait, quand on tient de tels propos…
CRANAccessoirement, le CRAN (Conseil représentatifs des associations noires [sic!] de France) et le MRAP s’y mettent aussi, Zemmour participe à “banaliser cette idéologie racisante [sic!]”. Pour l’occasion, on utilise même des néologismes. Ce n’est pas raciste, ce n’est pas racialiste, tout ça est “racisant”.
Examinons de plus près la “racisation” opérée par l’affreux Zemmour, pour lequel beaucoup se demandent surement si on ne devrait pas rétablir la peine de mort.
Un journaliste d’Europe 1 a d’ailleurs réalisé un réquisitoire anti-Zemmour en appelant la “justice du système médiatique” à “frapper” l’ignoble individu.
On connaissait l’annuaire chez les flics, chez le “système médiatique” on doit probablement frapper à coups de Convention européenne des Droits de l’Homme !
Premier propos justifiant au moins la pendaison, Zemmour dit aux partisans du melting-pot que “s’il n’y a pas de race, il n’y a pas de métissage”. C’est aussi simple à comprendre que les mathématiques de maternelle, mais il semblerait que les capacités intellectuelles des détracteurs de Zemmour se heurtent à toute une série de dogmes consensuels profondément ancrés dans leur tête et qui les empêchent de faire autre chose que de prendre des postures outrées de bonne soeur tombant sur la vidéo de “2 girls 1 cup” [pour ceux qui auraient manqué ce grand moment, allez donc voir dans Google, l’estomac vide].
Second propos justifiant la torture avant exécution, lâché au détour d’un échange avec la militante associative Rokhaya Diallo : “J’ai le sentiment qu’à la sacralisation des races de la période nazie a succédé la négation des races…” et, pire encore, “J’appartiens à la race blanche, vous appartenez à la race noire !”. Ca y est, Eric l’a dit, il y a des Noirs, il y a des Blancs. On ose à peine deviner les pensées ignominieuses qui auraient pu suivre, du type : il y a des Asiatiques, des Arabes, des Océaniens, des Indiens…On pourrait les différencier grace à leur couleur de peau et à leur morphologie. On nage en plein délire n’est-ce pas, nous sommes tous pareils, il n’y a qu’une race humaine c’est ce qu’on nous a appris non ? D’ailleurs c’est marqué dans la Constitution, les citoyens sont égaux - “sans distinction de race”, qui n’existent pas - donc les différences ça n’existe pas, c’est évident.
Et puis si les recherches scientifiques démontrent qu’il existe effectivement différents groupes éthniques, ça ne veut rien dire. Et puis si des prix Nobel affirment que des différences de QI existent entre des races, ça ne veut rien dire. D’ailleurs, cette carte montrant les différences de QI entre les population n’est qu’un délire de Professeur anglais, Richard Lynn, si des gens seraient tentés de faire des recherches sur ce dangereux personnage.
Map
Si certains peuples sont plus victimes de maladies que d’autres, c’est une histoire d’environnement n’est-ce pas ? Et puis les différences linguistiques, c’est purement culturel, de même que les visions du monde inhérentes aux différentes civilisations qui peuplent la terre ne sont-elles que des constructions culturelles. Toutes ces idées horribles, on sait qu’elles sont fausses, puisque c’est illégal de penser le contraire, du moins en France.
Sauf, bien sûr, quand on est un journaliste du système et que l’on souhaite mettre en avant une race (ça n’existe pas, oups !) minoritaire et pas suffisament visible comme les “Noirs” ou que l’on est “Noir” soi-même, membre d’une association, et que l’on souhaite dire que les “Blancs” sont méchants. En somme, les races existent chez nos journalistes et leurs protégés lorsque c’est pour affirmer que l’on ne voit pas assez de “Noirs” ou d’”Arabes” (les minorités visibles [sic!]) et qu’il y a encore trop de “Blancs”, notamment à la télévision (on peut s’en étonner quand on voit le programme Plus Belle la Vie diffusé sur France 3…).
La presse française ne s’est pas formalisée de l’usage du mot “race” à l’occasion de l’élection de Barack Obama, l’homme qui a déclaré “la race est une question que notre pays ne peut se permettre d’ignorer”… Nul n’a crié au châtiment en lisant : “L’élection d’un “frère de race” à la plus haute fonction de l’État est certainement un facteur psychologique très positif pour la communauté noire (et pour les Noirs dans le monde entier).” (Le Point). Personne n’a appelé à passer à tabac ce journaliste du Monde Diplomatique qui a dit – “Si les démocrates choisissent M. Obama pour défendre leurs couleurs en novembre, son progressisme présumé a autant de chances d’être sujet à controverse que sa race.” – ou par Marianne – “Les Américains n’ont pas à choisir l’homme qui gèrera au mieux le tsunami boursier et bancaire, celui qui réformera la Sécurité sociale et mettra fin aux folles guerres d’Orient. Ils ont seulement à trancher entre deux races, la leur ou l’autre.”
Mais bon, il faut dire qu’aux Etats-Unis, les races existent, c’est officiel, alors les plumes se lâchent, contrairement à la République Une et Indivisible où nier les différences (ethniques ou culturelles) entre groupes humains est un sport républicain dont la pratique active conditionne l’existence même de la France.
Et puisque l’on évoque les Etats-Unis et que l’on a donc le droit de parler de race comme les autres journalistes français, soulignons que 90% de l’électorat noir a voté Obama. Ca n’a surement rien à voir avec la couleur de peau. Vous en doutez, sale raciste ?
SOS racisme
Cela a déjà commencé, et cela va continuer. Ces prochaines années seront celle du retour de bâton aux idéologues de l’anti-racisme. De théories racistes parfois loufoques et dangereuses on est passé après la Seconde Guerre mondiale à la négation pure et simple de l’existence de races, du moins en Europe occidentale. Car chez les autres cultures (pour ne pas dire les autres “races”) il n’y a jamais eu de remise en question de ces différences, qui paraissent évidentes et qui sont aujourd’hui largement confirmées par la recherche génétique anglo-saxonne, puisqu’en France on n’ose guère s’intéresser à cela. Les techniques actuelles permettent d’évaluer de manière fine et approfondie les différences génétiques qui existent entre individus et entre populations, de relier des individus sur des générations à des groupes ethniques bien distincts. Et ce n’est qu’un exemple parmi d’autres.
L’erreur fondamentale de l’antiracisme est d’avoir pensé que l’on pouvait dissimuler aux gens une altérité qui est évidente pour tous, même pour l’antiraciste qui s’embourbe dans ses contradictions, lorsque pour défendre ses théories ou le métissage, il est obligé d’appréhender d’une façon ou d’une autre la notion de race.
En privé, l’immense majorité des gens ont d’ailleurs toujours recours à des réflexions que le système jugerait raciste, du seul fait de l’identification d’individu par leur groupe ethnique. La réalité n’est pas ce qu’on voit à la télé, le métissage et les “minorités visibles”. Pour les gens il y aura toujours des Noirs, des Blancs, des Asiatiques, des Arabes…
Ce n’est pas du racisme, ce que dit Eric Zemmour n’a absolument rien de raciste. C’est juste un constat évident, constat qui n’est pas partagé par une caste minoritaire de la population constituée essentiellement de bobos citadins (qui sont une minorité tres visible !).
Eux ont une idéologie, et non une logique. Ils sont complètement déconnectés des réalités.
Le racisme, c’est affirmer qu’une race est supérieure à une autre, et non affirmer que des races existent.
Quand on commence à chercher à hiérarchiser et à nier les individualités on entre dans des considérations qui sont susceptibles de dérives dangereuses.
Anti-boche
Mais rappelons, en guise de conclusion, que la France a longtemps essayé de se construire une mythologie raciale et qu’elle y est en partie parvenue. Dans les livres d’histoires des années soixante on pouvait encore lire des pages consacrées à la “race française”. Nos parents ont ainsi pu lire que “les Alsaciens descendent d’une population celtique, latinisée par la domination romaine, ce qui est la définition même de la race française”. On notera que la définition est pour le moins bancale et que les Alamans qui nous ont légué l’alsacien sont passés à la trape…
Ce sont par ailleurs des anthropologues français qui ont inspirés les théories racialistes en vogue dans le courant völskisch allemand, qui influença les Nazis.
Le nationalisme “subjectif” à la française est une construction toute théorique et philosophique qui vise à servir une image idéalisée de l’Universel français. Les Français se sont bien rendus compte que pour créer un véritable nationalisme au début du XXème siècle il fallait y intégrer les données objectives de la conception allemande du nationalisme, liée notamment à la langue et la race. La France n’a donc eu de cesse de linguistiquement franciser ces barbares de Bretons et ces sales boches d’Alsaciens tout en développant l’idée qu’il existait une race française homogène.
L’hypocrisie quant à la notion de “race” en France ne date donc pas de hier. C’est un peu une tradition républicaine, ce qu’Eric Zemmour devrait savoir apprécier, lui qui se veut un Républicain réactionnaire !
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