LE DODO ET SON IMPORTANCE DANS L’ENVIRONNEMENT

Le DODO

LE DODO ET SON IMPORTANCE DANS L’ENVIRONNEMENT

The dodoil a été un oiseau, plus gros qu’un cygne, pesant 20-23 kilogrammes. Court sur ses pattes avec un bec recourbé, un corps peu gracieux et grisâtre de couleur, avec des plumes blanches qui l’ornent, le dodo, scientifiquement connu sous le nom de Raphus Cucullatus, a été dissipé suite aux des excès des colons.

Pourtant le dodo est partout, en bois ou en porcelaine, sur les tee-shirts, les armoiries de l’île, les enseignes de restaurants et même sur les timbres ou sur des bijoux sculptés en or. Le dodo est à jamais immortalisé. L’histoire de cet oiseau peu ordinaire, remonte en 1598 soit à l’arrivée du Portugais Afonso de Albuquerque et ses hommes, qui découvrirent l’île Maurice et bien sûr le fameux dodo, spécimen rare à leur yeux . De par l’isolement de l’île et l’absence d’êtres humaines, le dodo accueillit les nouveaux visiteurs avec une naïveté enfantine, mais a été vite dupé par les Portugais . Ces derniers ont confondu l’esprit sentimental du dodo, car de par son incapacité de voler, parce qu’il avait des petites ailes très faibles, le dodo a été une proie facile aux navigateurs Portugais qui l’exterminèrent sans pitié.

Quant à ses petits, un des premiers visiteurs à l’île Maurice a décrit comment le dodo défendait son nid qui était construit en pyramide, grâce aux feuilles du palmier. La reproduction impliqua la pondaison d’un seul œuf dans le nid qui était à tour de rôle couvé par les parents car le petit prenait du temps à se développer. La durée de vie, était, au minimum 30 ans. Malheureusement, comme le nid était construit à même le sol, les petits du dodo ont bénéficié de peu de protection contre l’introduction des prédateurs tels que les chiens féroces et les cochons sauvages.

L’œuf du dodo était piétiné et mangé par ces créatures et la possibilité de repeupler l’île de ces espèces avant son extermination, était sérieusement affectée. Avec les décennies, le dodo s’est fait rare. Il a seulement était aperçu en quelques rares occasions soit en 1662 à l’île aux Cerfs et l’île de l’Est. Le dernier dodo est mort en 1681. Leurs extinctions ont été si rapides que la vague description faite à propos du dodo par les premiers navigateurs était longtemps considérée comme légendaire et exagérée. Bien sûr ils existent quelques os et reliques du dodo, mais sans la totalité des squelettes, il est quasi impossible d’estimer la vraie taille du dodo. Alors que l’estimation moderne varie entre 20-23 kilogrammes, les premiers portraits du dodo ont montré une créature bien plus mince.







Cette maquette n’est pas réelle car il n’existe pas de spécimen complet du dodo.



Salut! Moi c’est le dodo. Vous ne me connaissez pas ?


Des travaux ont été faits par le conservateur du musée, Andrew Kitchener, qui a expliqué que le dodo aurait pu être aussi léger, dans les environs de 13-17 kilogrammes. En analysant les os de ce dernier, il arriva avec une prédiction qui montre que le dodo n’était pas un oiseau massif et dodu. Il estime que les opinions ont été basées sur des portraits Européens. D’après lui, cela pourrait être une version romanesque de la vérité, soit que, l’enlèvement du dodo, de son environnement naturel, l’aurait peut-être engraissé. D’autre part, lorsqu’un 1598, les hommes du Vice Amirale, Van Warwick, ont rencontré le dodo, ils l’ont décrit comme un oiseau maigre et peu appétissant en été, gras et savoureux en hiver. Cela pouvait bien expliquer la massivité du dodo. Néanmoins, la vraie taille du dodo reste indéterminée .

La tragédie qui constitue la disparition du dodo souligne l’effet potentiel à ce que l’humanité peut avoir sur l’environnement. De plus, elle démontre la facilité avec laquelle il peut perturber la fragilité de notre écosystème, en détruisant les espèces rares. L’impacte des marins Portugais à l’île Maurice n’a pas pour conséquence que l’extermination du fameux dodo, mais également d’autres perturbations de la nature, qui constitua des circonstances inattendues.

Peu après l’extermination du dodo l’arbre du « Calvaria », cessa de germer et montra bientôt signe de son extinction. Bien qu’initialement, le Calvaria aurait seulement germé après que le dodo l’aurait mangé puis digéré. L’extermination du Dodo et l’extinction du calvaria servent a souligner les implications dangereuses de l’homme dans la disparition des espèces rares et pourquoi l’humanité doit travailler à protéger l’environnement et la nature. Quelques scientifiques ont désapprouvé la relation entre le Dodo et le Calvaria, mais d’autres ont cru que le Dodo a joué une partie intégrale dans la semence du Calvaria.

La reconstitution du dodo peut-être admirée au musée d’Histoire Naturelle à Port-Louis grâce à un naturaliste qui en 1865 découvrît un squelette complet du dodo près de Plaisance.



Ci dessus la reconstitution complet et réelle des squelettes du dodo. Cette œuvre peut-être admirée au musée d’Histoire Naturelle à Port-Louis

merci pour ces informations completes