La GRC perquisitionne les bureaux d'Ottawa
2 participants
Page 1 sur 1
La GRC perquisitionne les bureaux d'Ottawa
OTTAWA - Cible des attaques à peine voilées des conservateurs, le directeur général des élections, Marc Mayrand, s'est bien gardé de mettre de l'huile sur le feu, jeudi.
http://www.lanouvelle.net/article-cp25021025-La-GRC-perquisitionne-les-bureaux-dOttawa-du-Parti-conservateur-du-Canada.html
http://www.lanouvelle.net/article-cp25021025-La-GRC-perquisitionne-les-bureaux-dOttawa-du-Parti-conservateur-du-Canada.html
Déchet- Serviteur
-
Nombre de messages : 756
Age : 56
Localisation : Dans une poubel appeler planet terre
Humeur : Dangereuse
tendances politiques : Révolutionaire
Date d'inscription : 05/03/2008
Niveau de Courtoisie:
Gérer par le Tribunal:
(14/14)
Argent de poche:
(1/100)
Re: La GRC perquisitionne les bureaux d'Ottawa
OTTAWA - Cible des attaques à peine voilées des conservateurs, le directeur général des élections, Marc Mayrand, s'est bien gardé de mettre de l'huile sur le feu, jeudi.
Accusé par les conservateurs d'agir injustement à leur égard, M. Mayrand n'a pas entré dans leur jeu.
De passage devant un comité du Sénat sur une toute autre affaire, M. Mayrand a d'abord offert de laconiques "pas de commentaires" à la poignée de journalistes sur place qui ont tenté à de multiples reprises d'obtenir ses réactions.
Questionné à savoir s'il était frustré des commentaires entendus dans la bouche des conservateurs, il a finalement laissé entendre qu'il s'attendait, en quelque sorte, que les choses prennent cette tournure.
"Ca fait partie du territoire je dirais, à l'occasion, malheureusement", a brièvement commenté M. Mayrand, avant de s'engouffrer dans sa voiture.
Mardi et mercredi, la Gendarmerie royale du Canada (GRC) et Elections Canada ont mené une perquisition au quartier général du Parti conservateur, à Ottawa. L'affaire a irrité profondément les conservateurs, qui accusent Elections Canada de manquer d'impartialité en agissant différemment à leur égard comparativement aux autres partis fédéraux.
On ne sait pas exactement quels documents ils recherchent, mais tout indique que le mandat de perquisition est relié à l'enquête qu'a ouverte le commissaire aux élections fédérales sur les dépenses électorales des conservateurs, en 2006.
Elections Canada refuse de rembourser les dépenses électorales d'une cinquantaine de candidats conservateurs à l'élection de 2006.
L'agence fédérale prétend que les dépenses auraient dû être imputées au parti et non aux candidats locaux, puisque ces sommes n'ont que transité temporairement dans les comptes des candidats avant de reprendre la route des coffres du Parti conservateur.
L'argent aurait servi à acheter de la publicité nationale et non locale, soutient Elections Canada. Le stratagème aurait permis au parti d'excéder de 1,2 millions $ le plafond de dépenses alloué en vertu de la loi.
Les conservateurs contestent cette interprétation et tentent d'obtenir gain de cause devant les tribunaux
Jeudi, aux Communes, le leader parlementaire du gouvernement, Peter Van Loan, a encore mené la charge.
"Pourquoi les conservateurs n'ont pas le droit de parler de leur chef et de leurs politiques nationales durant une élection? Pourquoi sommes-nous traités différemment des autres partis?", a répété le ministre Van Loan, qui répète que des stratagèmes similaires sont utilisés par les adversaires.
L'opposition nie catégoriquement cette version.
Le ministre "se demande pourquoi ils sont traités différemment des autres partis? C'est bien simple, c'est qu'ils ont agi différemment des autres partis", a lâché le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe.
Le Bloc et le Parti libéral ont mis au défi les conservateurs de rendre public le mandat de perquisition. Leur demande s'est frappée à un mur, le ministre Van Loan évitant chaque fois de répondre directement à la requête.
"Si vraiment les conservateurs sont sincères quand ils disent qu'ils veulent coopérer avec le commissaire aux élections, eh bien en Chambre, ils montrent à quel point ils ne veulent pas coopérer", a résumé le chef libéral Stéphane Dion.
bien pas ci facile a comprendre leur macouille lol
sa fait réver
le dit pas aux autre il von prendre exemple lol
Accusé par les conservateurs d'agir injustement à leur égard, M. Mayrand n'a pas entré dans leur jeu.
De passage devant un comité du Sénat sur une toute autre affaire, M. Mayrand a d'abord offert de laconiques "pas de commentaires" à la poignée de journalistes sur place qui ont tenté à de multiples reprises d'obtenir ses réactions.
Questionné à savoir s'il était frustré des commentaires entendus dans la bouche des conservateurs, il a finalement laissé entendre qu'il s'attendait, en quelque sorte, que les choses prennent cette tournure.
"Ca fait partie du territoire je dirais, à l'occasion, malheureusement", a brièvement commenté M. Mayrand, avant de s'engouffrer dans sa voiture.
Mardi et mercredi, la Gendarmerie royale du Canada (GRC) et Elections Canada ont mené une perquisition au quartier général du Parti conservateur, à Ottawa. L'affaire a irrité profondément les conservateurs, qui accusent Elections Canada de manquer d'impartialité en agissant différemment à leur égard comparativement aux autres partis fédéraux.
On ne sait pas exactement quels documents ils recherchent, mais tout indique que le mandat de perquisition est relié à l'enquête qu'a ouverte le commissaire aux élections fédérales sur les dépenses électorales des conservateurs, en 2006.
Elections Canada refuse de rembourser les dépenses électorales d'une cinquantaine de candidats conservateurs à l'élection de 2006.
L'agence fédérale prétend que les dépenses auraient dû être imputées au parti et non aux candidats locaux, puisque ces sommes n'ont que transité temporairement dans les comptes des candidats avant de reprendre la route des coffres du Parti conservateur.
L'argent aurait servi à acheter de la publicité nationale et non locale, soutient Elections Canada. Le stratagème aurait permis au parti d'excéder de 1,2 millions $ le plafond de dépenses alloué en vertu de la loi.
Les conservateurs contestent cette interprétation et tentent d'obtenir gain de cause devant les tribunaux
Jeudi, aux Communes, le leader parlementaire du gouvernement, Peter Van Loan, a encore mené la charge.
"Pourquoi les conservateurs n'ont pas le droit de parler de leur chef et de leurs politiques nationales durant une élection? Pourquoi sommes-nous traités différemment des autres partis?", a répété le ministre Van Loan, qui répète que des stratagèmes similaires sont utilisés par les adversaires.
L'opposition nie catégoriquement cette version.
Le ministre "se demande pourquoi ils sont traités différemment des autres partis? C'est bien simple, c'est qu'ils ont agi différemment des autres partis", a lâché le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe.
Le Bloc et le Parti libéral ont mis au défi les conservateurs de rendre public le mandat de perquisition. Leur demande s'est frappée à un mur, le ministre Van Loan évitant chaque fois de répondre directement à la requête.
"Si vraiment les conservateurs sont sincères quand ils disent qu'ils veulent coopérer avec le commissaire aux élections, eh bien en Chambre, ils montrent à quel point ils ne veulent pas coopérer", a résumé le chef libéral Stéphane Dion.
bien pas ci facile a comprendre leur macouille lol
sa fait réver
le dit pas aux autre il von prendre exemple lol
avec-amour-et-paix- Journalistes
-
Nombre de messages : 3537
Age : 61
Localisation : montpellier
Humeur : belle
tendances politiques : anarchiste
Date d'inscription : 18/02/2008
Niveau de Courtoisie:
Gérer par le Tribunal:
(14/14)
Argent de poche:
(0/100)
Re: La GRC perquisitionne les bureaux d'Ottawa
Ottawa -- Le gouvernement Harper a choisi William Elliott, un fonctionnaire de carrière et un conservateur sous Brian Mulroney, pour diriger la Gendarmerie royale du Canada (GRC). C'est la première fois qu'un civil prend les rênes du corps policier fédéral en 134 ans d'histoire, mettant la table pour des changements importants à venir au sein de la force de 24 000 agents.
William Elliott, 53 ans, est arrivé à Ottawa en 1988 à titre d'assistant spécial pour le vice-premier ministre conservateur Don Mazankowski. En 1992, il quitte son poste politique pour entreprendre une carrière dans la fonction publique fédérale. Avocat de formation, il gravit les échelons dans différents ministères (Affaires indiennes, Pêches et Océans, Transports, Conseil privé), avant de se retrouver conseiller en matière de sécurité nationale au bureau du premier ministre Paul Martin en 2005. L'année suivante, après l'arrivée des conservateurs au pouvoir, il est nommé sous-ministre adjoint au ministère de la Sécurité publique, dirigé par Stockwell Day. C'est ce ministère qui est responsable de la GRC.
C'est d'ailleurs à ce titre que William Elliott a aiguillé l'ancien commissaire de la GRC, Guliano Zaccardelli, lors de ses témoignages contradictoires sur l'affaire Maher Arar devant le Comité de la sécurité publique de la Chambre des communes. La confusion dans les témoignages avait achevé de ruiner la crédibilité de Zaccardelli, qui a dû démissionner en décembre. William Elliott avait ensuite refusé de témoigner devant le comité des Communes pour expliquer son rôle dans la confusion de Zaccardelli, prétextant un horaire trop chargé.
Cet écueil inquiète le Parti libéral du Canada. «Je ne suis pas certain qu'il possède l'indépendance nécessaire pour restaurer l'intégrité de la GRC, qui a été ébranlée par l'affaire Arar et le scandale du fonds de retraite», a soutenu au Devoir la députée libérale Marlène Jennings, qui a fait partie de la surveillance civile des corps policiers du Québec entre 1990 et 1997 en tant que commissaire adjointe à la déontologie policière.
Mais le ministre de la Sécurité publique, Stockwell Day, affirme avoir justement choisi un fonctionnaire, un civil, pour restaurer l'image de la GRC et entreprendre les réformes nécessaires. La surveillance plus étroite d'un organisme indépendant est d'ailleurs au menu, même si le ministre est resté avare de détails hier. «William Elliott sera en mesure d'apporter à la force policière le leadership renouvelé dont elle a tant besoin à l'heure actuelle», a notamment souligné le premier ministre Stephen Harper.
Des remous?
Cette décision risque de créer des remous à l'intérieur de l'institution. Pas plus tard que ce printemps, la commissaire intérimaire, Bev Busson, soutenait que le gouvernement devait suivre la tradition et choisir un policier pour diriger l'institution. Hier, le nouveau commissaire a affirmé que la transition représente un défi, lui qui n'a aucune expérience de travail en milieu policier.
«Il y aura des obstacles, je ne mets pas de lunettes roses, a dit William Elliott lors d'un point de presse à Ottawa. Je sais que certains membres de la GRC auraient voulu un commissaire issu de leurs rangs. Mais ce que je peux dire, c'est que je partage le même souhait que les membres de la GRC: avoir une organisation moderne, efficace et qui donne un meilleur service aux Canadiens. Je suis confiant qu'on va pouvoir travailler en équipe pour y arriver.»
Selon William Elliott, qui prendra ses fonctions le 16 juillet, «il n'y a aucun doute que l'indépendance de la GRC et de la police dans une démocratie est essentielle». Il entend d'ailleurs «préserver avec rigueur» cette indépendance envers les pouvoirs politiques qu'il connaît bien.
Cette indépendance aurait été mieux gardée avec un policier à la tête de l'institution, soutient Marlène Jennings. «Il y avait beaucoup de gens disponibles, même si on voulait prendre quelqu'un de l'extérieur pour brasser la GRC, dit-elle. Des policiers des grandes villes ou des différentes provinces auraient pu faire un bon travail.»
De son côté, le Bloc québécois «laisse la chance au coureur» et espère qu'un civil pourra remettre de l'ordre dans un corps policier affligé par les scandales depuis un an. «Il n'a pas été mêlé aux problèmes de la GRC, c'est une bonne chose. Il semble avoir les compétences pour remplir le poste», soutient Serge Ménard, critique du Bloc en matière de sécurité publique.
Outre remettre la GRC sur les rails et restaurer sa crédibilité, Serge Ménard estime que l'une des grandes priorités du nouveau commissaire doit être l'efficacité. «Un des problèmes de la GRC, c'est la lenteur de ses enquêtes. On l'a vu avec Air India. Dans les milieux policiers, on dit souvent que la GRC est à cheval pendant que les autres sont en voiture!», dit cet ancien ministre de la Sécurité publique du Québec.
William Elliott, 53 ans, est arrivé à Ottawa en 1988 à titre d'assistant spécial pour le vice-premier ministre conservateur Don Mazankowski. En 1992, il quitte son poste politique pour entreprendre une carrière dans la fonction publique fédérale. Avocat de formation, il gravit les échelons dans différents ministères (Affaires indiennes, Pêches et Océans, Transports, Conseil privé), avant de se retrouver conseiller en matière de sécurité nationale au bureau du premier ministre Paul Martin en 2005. L'année suivante, après l'arrivée des conservateurs au pouvoir, il est nommé sous-ministre adjoint au ministère de la Sécurité publique, dirigé par Stockwell Day. C'est ce ministère qui est responsable de la GRC.
C'est d'ailleurs à ce titre que William Elliott a aiguillé l'ancien commissaire de la GRC, Guliano Zaccardelli, lors de ses témoignages contradictoires sur l'affaire Maher Arar devant le Comité de la sécurité publique de la Chambre des communes. La confusion dans les témoignages avait achevé de ruiner la crédibilité de Zaccardelli, qui a dû démissionner en décembre. William Elliott avait ensuite refusé de témoigner devant le comité des Communes pour expliquer son rôle dans la confusion de Zaccardelli, prétextant un horaire trop chargé.
Cet écueil inquiète le Parti libéral du Canada. «Je ne suis pas certain qu'il possède l'indépendance nécessaire pour restaurer l'intégrité de la GRC, qui a été ébranlée par l'affaire Arar et le scandale du fonds de retraite», a soutenu au Devoir la députée libérale Marlène Jennings, qui a fait partie de la surveillance civile des corps policiers du Québec entre 1990 et 1997 en tant que commissaire adjointe à la déontologie policière.
Mais le ministre de la Sécurité publique, Stockwell Day, affirme avoir justement choisi un fonctionnaire, un civil, pour restaurer l'image de la GRC et entreprendre les réformes nécessaires. La surveillance plus étroite d'un organisme indépendant est d'ailleurs au menu, même si le ministre est resté avare de détails hier. «William Elliott sera en mesure d'apporter à la force policière le leadership renouvelé dont elle a tant besoin à l'heure actuelle», a notamment souligné le premier ministre Stephen Harper.
Des remous?
Cette décision risque de créer des remous à l'intérieur de l'institution. Pas plus tard que ce printemps, la commissaire intérimaire, Bev Busson, soutenait que le gouvernement devait suivre la tradition et choisir un policier pour diriger l'institution. Hier, le nouveau commissaire a affirmé que la transition représente un défi, lui qui n'a aucune expérience de travail en milieu policier.
«Il y aura des obstacles, je ne mets pas de lunettes roses, a dit William Elliott lors d'un point de presse à Ottawa. Je sais que certains membres de la GRC auraient voulu un commissaire issu de leurs rangs. Mais ce que je peux dire, c'est que je partage le même souhait que les membres de la GRC: avoir une organisation moderne, efficace et qui donne un meilleur service aux Canadiens. Je suis confiant qu'on va pouvoir travailler en équipe pour y arriver.»
Selon William Elliott, qui prendra ses fonctions le 16 juillet, «il n'y a aucun doute que l'indépendance de la GRC et de la police dans une démocratie est essentielle». Il entend d'ailleurs «préserver avec rigueur» cette indépendance envers les pouvoirs politiques qu'il connaît bien.
Cette indépendance aurait été mieux gardée avec un policier à la tête de l'institution, soutient Marlène Jennings. «Il y avait beaucoup de gens disponibles, même si on voulait prendre quelqu'un de l'extérieur pour brasser la GRC, dit-elle. Des policiers des grandes villes ou des différentes provinces auraient pu faire un bon travail.»
De son côté, le Bloc québécois «laisse la chance au coureur» et espère qu'un civil pourra remettre de l'ordre dans un corps policier affligé par les scandales depuis un an. «Il n'a pas été mêlé aux problèmes de la GRC, c'est une bonne chose. Il semble avoir les compétences pour remplir le poste», soutient Serge Ménard, critique du Bloc en matière de sécurité publique.
Outre remettre la GRC sur les rails et restaurer sa crédibilité, Serge Ménard estime que l'une des grandes priorités du nouveau commissaire doit être l'efficacité. «Un des problèmes de la GRC, c'est la lenteur de ses enquêtes. On l'a vu avec Air India. Dans les milieux policiers, on dit souvent que la GRC est à cheval pendant que les autres sont en voiture!», dit cet ancien ministre de la Sécurité publique du Québec.
Déchet- Serviteur
-
Nombre de messages : 756
Age : 56
Localisation : Dans une poubel appeler planet terre
Humeur : Dangereuse
tendances politiques : Révolutionaire
Date d'inscription : 05/03/2008
Niveau de Courtoisie:
Gérer par le Tribunal:
(14/14)
Argent de poche:
(1/100)
Re: La GRC perquisitionne les bureaux d'Ottawa
Oui, et que ferons, avec le parti conservateur?
La GRC est comromput, ce son les même, qui on fait des attentats durant la crise (FLQ )dans les années 60 70.
Une police, qui est contre l`indépendance, alors, ils feront rien!
Car, ce sont les fédéreaux, qui les payent.
les politiques nationales sont issues d’un mélange de trois cultures : la culture conservatrice de l’Ouest, la culture libérale de l’Est et des centres urbains, et la culture nationaliste québécoise; chaque culture a ses priorités et sa vison par rapport au pays.
La GRC est comromput, ce son les même, qui on fait des attentats durant la crise (FLQ )dans les années 60 70.
Une police, qui est contre l`indépendance, alors, ils feront rien!
Car, ce sont les fédéreaux, qui les payent.
les politiques nationales sont issues d’un mélange de trois cultures : la culture conservatrice de l’Ouest, la culture libérale de l’Est et des centres urbains, et la culture nationaliste québécoise; chaque culture a ses priorités et sa vison par rapport au pays.
Déchet- Serviteur
-
Nombre de messages : 756
Age : 56
Localisation : Dans une poubel appeler planet terre
Humeur : Dangereuse
tendances politiques : Révolutionaire
Date d'inscription : 05/03/2008
Niveau de Courtoisie:
Gérer par le Tribunal:
(14/14)
Argent de poche:
(1/100)
Re: La GRC perquisitionne les bureaux d'Ottawa
C`est la même chose, que ci je dirais à un beau frère, qui travaile pour les impots.
Quant tu iras voir mon entreprise, tu fermera les yeux ok. oui! donne moi 100$ et je fermerai les yeux.
Entre complice nous fesons la même magouille.
Quant tu iras voir mon entreprise, tu fermera les yeux ok. oui! donne moi 100$ et je fermerai les yeux.
Entre complice nous fesons la même magouille.
Déchet- Serviteur
-
Nombre de messages : 756
Age : 56
Localisation : Dans une poubel appeler planet terre
Humeur : Dangereuse
tendances politiques : Révolutionaire
Date d'inscription : 05/03/2008
Niveau de Courtoisie:
Gérer par le Tribunal:
(14/14)
Argent de poche:
(1/100)
Re: La GRC perquisitionne les bureaux d'Ottawa
tu dévellope le triste constat de notre monde on et aqui par
la honte et la coruption
élever nos enfant dans ce monde
c'est vouloir de la compasion d'une poubelle
la honte et la coruption
élever nos enfant dans ce monde
c'est vouloir de la compasion d'une poubelle
avec-amour-et-paix- Journalistes
-
Nombre de messages : 3537
Age : 61
Localisation : montpellier
Humeur : belle
tendances politiques : anarchiste
Date d'inscription : 18/02/2008
Niveau de Courtoisie:
Gérer par le Tribunal:
(14/14)
Argent de poche:
(0/100)
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum