Jusqu'où vont-ils aller ?
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Qu'en pensez vous ?
Jusqu'où vont-ils aller ?
Après Poutine qui veut buter les terroristes jusque dans les chiottes en Russie, découvrez en France la gendarmerie qui va chercher la drogue jusque dans les soutifs de filles de 13 ans
Citation:
Une intervention de gendarmerie musclée sème l'émoi dans un collège
Bastien Hugues (lefigaro.fr) avec La Dépêche du Midi
02/12/2008 | Mise à jour : 15:59
Des gendarmes ont promené leurs chiens renifleurs dans une salle de cours à la recherche de stupéfiants. Rien n'a été trouvé mais les élèves ont été bien choqués. Des parents ont appelé à un rassemblement.
Les gendarmes et leurs chiens ont-ils le droit d'aller traquer la drogue dans les salles de classe ? C'est la question que se posent aujourd'hui les élèves du collège de Marciac (Gers), leurs professeurs et surtout leurs parents, après qu'une fouille improvisée ait quelque peu intimidé les élèves, il y a quelques jours.
C'est surtout le témoignage de Zoé, 13 ans, publié sur internet, qui provoqué la polémique aux abords du collège de Marciac. Le mercredi 19 novembre, la jeune collégienne est en classe lorsque les gendarmes arrivent dans sa salle de cours. Sur l'emploi du temps, une rencontre avec les gendarmes sur les risques liés à la consommation de drogues est prévue par le conseiller principal d'éducation. En réalité, le principal du collège a demandé une «descente» auprès de la procureure de la République, comme la loi l'y oblige.
Résultat, la rencontre de prévention se transforme en une fouille insistante, avec l'aide des chiens renifleurs. Zoé décrit ainsi l'arrivée de deux gendarmes, «un monsieur chauve habillé en militaire (le dresseur de chien) et un gendarme très gros». Et le premier de lancer aux élèves : «Nous allons faire entrer un chien ! Mettez vos mains sur les tables, restez droit, ne le regardez pas ! Quand il mord, ça pique !».
Dans son témoignage, Zoé décrit longuement la fouille individuelle et méticuleuse qui s'en suit. Stylos disséqués, habits retirés… Tout semble y passer. La gendarmette «fouilla dans mon soutif et chercha en passant ses mains sur ma culotte ! Les gendarmes n'exprimèrent aucune surprise face à ce geste mais ce ne fut pas mon cas !». Bilan de l'intervention : aucun produit illicite trouvé, mais quelques élèves bien choqués.
L'inspecteur d'académie suspend les interventions
Interrogée par la presse régionale sur cette affaire, la gendarmerie de Mirande dit «ne pas comprendre l'émoi provoqué par cette mission de contrôle. L'idée, c'est de ne pas abandonner le terrain aux stupéfiants. On sensibilise les élèves aux problèmes de drogues.» Une sensibilisation musclée qui a toutefois suscité la colère des parents d'élève. «On est contre les drogues, mais contre ce type de procédure», témoigne Frédéric, le père de la jeune Zoé.
Dans la Dépêche du Midi, le principal du collège relativise également l'affaire. «Le contrôle s'est fait dans quatre classes et n'a pas semblé susciter une émotion extraordinaire. Je n'ai pas senti de climat particulier de tension. Mais après réflexion, je conçois que l'intervention puisse avoir un côté impressionnant.»
Devant la colère des parents et des professeurs, l'inspecteur d'académie a toutefois annoncé la suspension des procédures d'intervention de la gendarmerie dans les collèges gersois. «Elles vont être remplacées par des actions de prévention préparées avec les équipes éducatives, qui pourront inclure une démonstration du travail des chiens sur un mannequin», précise le syndicat d'enseignants FSU.
Depuis le début de l'année, près d'une trentaine d'établissements gersois auraient été contrôlés de la sorte. Pas étonnant, commente la Dépêche du Midi, dès lors que «la procureure de la République du Gers, depuis son arrivée en 2005, répond positivement à toutes les demandes faites en ce sens par les responsables d'établissement scolaire».
Les parents, de leur côté, ont appelé à un rassemblement vendredi contre la «terrorisation» des élèves. «Je ne souhaite pas de banderole politique, mais je veux dire oui à la prévention, non à la terrorisation, parce que sous couvert de contrôle ma fille a subi sa première agression et je veux bien qu'on dénonce cette violence policière», a justifié le père de Zoé, à l'origine du mouvement.
Source : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2008/12/02/01016-20081202ARTFIG0046…
Non, mais voilà ce que fait Sarko 1er ! Putain, mais faut arrêter les conneries de manifs isolés ! Unissons-nous contre ce salaud, qui n'a jamais eu d'humanité ! Après avoir piégé un turc en l'invitant à se faire régulariser à la Préfecture, les flics de Hortefeux et Sarkozy vont jusqu'à toucher les mineurs de moins de 13 ans ! Putain, c'est des pédophiles qui nous protègent !
Là, c'en est trop, Sarkozy va devoir démissionner, sinon moi la révolution va commencer plutôt que prévu !
Citation:
Une intervention de gendarmerie musclée sème l'émoi dans un collège
Bastien Hugues (lefigaro.fr) avec La Dépêche du Midi
02/12/2008 | Mise à jour : 15:59
Des gendarmes ont promené leurs chiens renifleurs dans une salle de cours à la recherche de stupéfiants. Rien n'a été trouvé mais les élèves ont été bien choqués. Des parents ont appelé à un rassemblement.
Les gendarmes et leurs chiens ont-ils le droit d'aller traquer la drogue dans les salles de classe ? C'est la question que se posent aujourd'hui les élèves du collège de Marciac (Gers), leurs professeurs et surtout leurs parents, après qu'une fouille improvisée ait quelque peu intimidé les élèves, il y a quelques jours.
C'est surtout le témoignage de Zoé, 13 ans, publié sur internet, qui provoqué la polémique aux abords du collège de Marciac. Le mercredi 19 novembre, la jeune collégienne est en classe lorsque les gendarmes arrivent dans sa salle de cours. Sur l'emploi du temps, une rencontre avec les gendarmes sur les risques liés à la consommation de drogues est prévue par le conseiller principal d'éducation. En réalité, le principal du collège a demandé une «descente» auprès de la procureure de la République, comme la loi l'y oblige.
Résultat, la rencontre de prévention se transforme en une fouille insistante, avec l'aide des chiens renifleurs. Zoé décrit ainsi l'arrivée de deux gendarmes, «un monsieur chauve habillé en militaire (le dresseur de chien) et un gendarme très gros». Et le premier de lancer aux élèves : «Nous allons faire entrer un chien ! Mettez vos mains sur les tables, restez droit, ne le regardez pas ! Quand il mord, ça pique !».
Dans son témoignage, Zoé décrit longuement la fouille individuelle et méticuleuse qui s'en suit. Stylos disséqués, habits retirés… Tout semble y passer. La gendarmette «fouilla dans mon soutif et chercha en passant ses mains sur ma culotte ! Les gendarmes n'exprimèrent aucune surprise face à ce geste mais ce ne fut pas mon cas !». Bilan de l'intervention : aucun produit illicite trouvé, mais quelques élèves bien choqués.
L'inspecteur d'académie suspend les interventions
Interrogée par la presse régionale sur cette affaire, la gendarmerie de Mirande dit «ne pas comprendre l'émoi provoqué par cette mission de contrôle. L'idée, c'est de ne pas abandonner le terrain aux stupéfiants. On sensibilise les élèves aux problèmes de drogues.» Une sensibilisation musclée qui a toutefois suscité la colère des parents d'élève. «On est contre les drogues, mais contre ce type de procédure», témoigne Frédéric, le père de la jeune Zoé.
Dans la Dépêche du Midi, le principal du collège relativise également l'affaire. «Le contrôle s'est fait dans quatre classes et n'a pas semblé susciter une émotion extraordinaire. Je n'ai pas senti de climat particulier de tension. Mais après réflexion, je conçois que l'intervention puisse avoir un côté impressionnant.»
Devant la colère des parents et des professeurs, l'inspecteur d'académie a toutefois annoncé la suspension des procédures d'intervention de la gendarmerie dans les collèges gersois. «Elles vont être remplacées par des actions de prévention préparées avec les équipes éducatives, qui pourront inclure une démonstration du travail des chiens sur un mannequin», précise le syndicat d'enseignants FSU.
Depuis le début de l'année, près d'une trentaine d'établissements gersois auraient été contrôlés de la sorte. Pas étonnant, commente la Dépêche du Midi, dès lors que «la procureure de la République du Gers, depuis son arrivée en 2005, répond positivement à toutes les demandes faites en ce sens par les responsables d'établissement scolaire».
Les parents, de leur côté, ont appelé à un rassemblement vendredi contre la «terrorisation» des élèves. «Je ne souhaite pas de banderole politique, mais je veux dire oui à la prévention, non à la terrorisation, parce que sous couvert de contrôle ma fille a subi sa première agression et je veux bien qu'on dénonce cette violence policière», a justifié le père de Zoé, à l'origine du mouvement.
Source : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2008/12/02/01016-20081202ARTFIG0046…
Non, mais voilà ce que fait Sarko 1er ! Putain, mais faut arrêter les conneries de manifs isolés ! Unissons-nous contre ce salaud, qui n'a jamais eu d'humanité ! Après avoir piégé un turc en l'invitant à se faire régulariser à la Préfecture, les flics de Hortefeux et Sarkozy vont jusqu'à toucher les mineurs de moins de 13 ans ! Putain, c'est des pédophiles qui nous protègent !
Là, c'en est trop, Sarkozy va devoir démissionner, sinon moi la révolution va commencer plutôt que prévu !
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