Comment ce fait-il qu’aucun chinois ne meure jamais en France ?
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Comment ce fait-il qu’aucun chinois ne meure jamais en France ?
Comment ce fait-il qu’aucun chinois ne meure jamais en France ? ... des patientes africaines accouchaient trois à quatre fois par an !
De l’administration au patronat : les collabos de l’immigration clandestine.
Depuis quelques jours la classe politique et le microcosme médiatique s’agitent beaucoup autour d’une grève orchestrée par la CGT, par provocation de quelques centaines de sans papiers « travaillant dans la restauration ». Certains de ces travailleurs de l’ombre revendiquent en effet plus de dix années d’activité professionnelle, parfois chez le même employeur, et produisent à l’appui fiches de paye, carte de sécurité sociale, feuille d’impôts et tout l’attirail des justificatifs administratifs du citoyen moyen.
Et chacun de s’interroger « Mais comment est-ce possible ? »
Tout simplement parce que les intéressés ne sont pas des « sans papiers » mais des « faux papiers » : ils disposent tous des documents officiels contrefaits et usurpés nécessaires à leur embauche. Et chacun de s’interroger à nouveau : « Mais comment est-ce possible ? » La réponse est tout aussi simple : parce que l’administration et l’employeur sont la plupart du temps complices ! Est-il imaginable en effet d’imaginer un patron qui ne réalise pas au bout d’un certain temps que son employé dispose d’une identité usurpée ? Même le président Sarkozy, dans sa dernière conférence de presse, s’en étonnait et manifestait son scepticisme quant à la bonne foi des employeurs ! C’est dire !
L’histoire est d’autant plus croustillante que la grève émane initialement du personnel d’arrière cuisine de restaurants huppés parfois même fréquentés par ledit président…et que l’un d’eux, avouant employer certains de ces « faux papiers » depuis des années…se trouve d’ailleurs à Neuilly !
Les services de la mairie sarkozienne ne sont certainement pas irréprochables dans cette affaire ! Car les identités usurpées servent à plusieurs petits malins en même temps. Qu’observe-t-on en effet : des documents aberrants que tout fonctionnaire, aussi peu zélé soit-il, ne peut décortiquer sans froncer le sourcil : feuilles d’impôts présentant des cumuls salariaux incompatibles avec la rétribution moyenne du travail concerné, inscriptions sous le même nom de multiples activités sur les registres de la Sécurité Sociale, des Caisses de Retraite ou de l’Inspection du Travail. Et personne ne bronche en voyant une même identité présentant un cumul de cinq ou six activités à temps plein !
Et notons qu’aujourd’hui la falsification de documents dépasse largement le contexte de l’embauche : ainsi le patron du service d’obstétrique d’un grand hôpital s’étonnait auprès de la mairie (où étaient déclarés les nourrissons) que « depuis plusieurs années des patientes africaines accouchaient trois à quatre fois par an ! » Mais la réponse de la mairie fut plus que laconique « Ceci n’est pas votre problème » (sic !)
Qui osera dire qu’il n’y a pas là la preuve d’une évidente et bienveillante complicité ?
Et tout cela n’est d’ailleurs pas nouveau : Jacques Chirac, alors premier ministre – cela ne date donc pas d’hier - s’étonnait un jour lors d’une interview sur TF1 de la longévité des chinois : « Comment ce fait-il qu’aucun chinois ne meure jamais en France ? ». Bien évidemment parce que les papiers sont aussitôt transmis à l’immigré suivant…
Pour les patrons naïfs ou « complaisants », c’est tout bénéfice : comment croire en effet qu’il a fallu embaucher des « sans papiers » faute de main d’œuvre, quand l’immigration légale présente un taux de chômage de 22% ? (chiffre avancé par le président Sarkozy lui-même !). Mais il est peut être vrai que ces « immigrés légaux - chômeurs de fait » préfèrent se contenter des prestations sociales diverses auxquelles ils ont légalement droit !
Si certains patrons prennent le risque d’embauche des « faux papiers » c’est évidemment la plupart du temps en pleine connaissance de cause : l’embauche de ces immigrés illégaux, initialement sans ressources et sans protection sociale, permet l’assurance d’une main d’œuvre docile et sous payée, malléable et corvéable à merci : c’est la résurrection d’une nouvelle forme, modernisée, de l’esclavage. C’est bien ce que le Collectif Expulsion Sans Frontières dénonce depuis sa création !
Monsieur Jean François Roubaud, président de la CGPME, ne s’en cache même pas : il va jusqu’à demander lors d’une récente nterview télévisée : « La régularisation globale de trente à cinquante mille immigrés sans papiers qui travaillent légalement depuis des années notamment dans le secteur de la restauration ou des travaux publics » (sic !). On notera que le MEDEF observe dans cette affaire un silence prudent…Par décence sans doute ! Le Ministre de l’Identité Nationale et de l’Immigration se refuse, sur ordre du président Sarkozy, à toute régularisation massive. Enfin, pour le moment !
Personne ne souligne en effet que ces « faux papiers » sont d’abord des délinquants à double titre :
- d’une part, pour entrée et maintient sur le territoire national (à la suite d’une entrée frauduleuse ou d’un visa de tourisme temporaire) ,
- d’autre part et surtout pour usurpation d’identité, ce qui est encore bien le plus grave.
La loi stipule entre autre que l’usurpation d’identité devient un délit pénal dès l’instant où le fait de prendre l’identité d’un tiers a été réalisée dans des circonstances qui ont déterminé ou auraient pu déterminer contre celui-ci des poursuites pénales. Délit passible de 5ans de prison et 75 000 € d’amende (Art. 434-23 du code pénal). Or, il est clair qu’un immigré en situation irrégulière est bien susceptible de poursuites !
Ainsi, non seulement il ne devrait pas être question de « légaliser » la présence de ces individus qui privent de travail, par leur activité, une partie des 22% de chômeurs de l’immigration légale, mais il devrait être d’abord question de leur condamnation aux termes de l’article suscité.
Par ailleurs, dans la Convention Européenne des droits de l’Homme (CEDH) de 1950, un extrait de son article 5, intitulé « Droit à la liberté et à la sûreté » précise:
« § 2. Nul ne peut être privé de sa liberté, sauf dans les cas suivants et selon les voies légales :
al. f : s’il s’agit de l’arrestation ou de la détention régulière d’une personne pour l’empêcher de pénétrer irrégulièrement dans le territoire, ou contre laquelle une procédure d’expulsion ou d’extradition est en cours. »
Ce qui montre, si besoin l’était, l’accord unanime de toutes les instances dans ce domaines !
Quant aux collabos qui profitent, ou du moins qui permettent, par leur bienveillant aveuglement le développement du système, leur situation judiciaire ne serait guère plus enviable si la France voulait bien redevenir un état de droit, ce qu’elle a fortement tendance à oublier en matière d’immigration.
Si faire entrer un étranger irrégulièrement en France est un délit, l’aider à s’y maintenir aussi ! Peine de prison de 5 ans maximum et/ou une amende, plus des peines complémentaires qui visent surtout les trafiquants de main d’oeuvre ainsi que les passeurs (confiscation de véhicule, interdiction d’exercer une activité de transporteur…). [Ces peines sont de 10 ans de prison et 2 millions d’euros d’amende maximum en cas d’aide par une bande organisée.]
Notons bien que les patrons ripoux, parfaitement au courant des représailles qui les guettent, ont déjà pris les devants, en demandant l’immunité les concernant, en préalable aux éventuelles procédures de régularisation au « cas par cas » de leurs employés !
Mais la situation est en fait beaucoup plus grave car elle présage, si rien n’est fait, l’implantation généralisée de réseaux européens de type mafieux susceptibles de fourniture « clef en main » de personnel à bon marché pour des employeurs peu regardant dans des secteurs à main d’œuvre peu qualifiée, en assurant l’acheminement, le passage aux frontières comme la fourniture de papiers de ces nouveaux esclaves. 160 ans après l’abolition de l’esclavage, Victor Schoelcher aurait encore du travail…et à une échelle insoupçonnée !
C’est donc d’abord au niveau du contrôle des entreprises et des services administratifs qu’il importe d’être vigilant et surtout répressif vu le laxisme ambiant! Souhaitons que cela ne reste pas un vœu pieux, que les élus de la nation s’intéressent enfin efficacement au problème, et que monsieur Brice Hortefeux y songe sérieusement et fasse prendre les mesures nécessaires !
Source : http://www.expulsionsansfrontieres.org
De l’administration au patronat : les collabos de l’immigration clandestine
De l’administration au patronat : les collabos de l’immigration clandestine.
Depuis quelques jours la classe politique et le microcosme médiatique s’agitent beaucoup autour d’une grève orchestrée par la CGT, par provocation de quelques centaines de sans papiers « travaillant dans la restauration ». Certains de ces travailleurs de l’ombre revendiquent en effet plus de dix années d’activité professionnelle, parfois chez le même employeur, et produisent à l’appui fiches de paye, carte de sécurité sociale, feuille d’impôts et tout l’attirail des justificatifs administratifs du citoyen moyen.
Et chacun de s’interroger « Mais comment est-ce possible ? »
Tout simplement parce que les intéressés ne sont pas des « sans papiers » mais des « faux papiers » : ils disposent tous des documents officiels contrefaits et usurpés nécessaires à leur embauche. Et chacun de s’interroger à nouveau : « Mais comment est-ce possible ? » La réponse est tout aussi simple : parce que l’administration et l’employeur sont la plupart du temps complices ! Est-il imaginable en effet d’imaginer un patron qui ne réalise pas au bout d’un certain temps que son employé dispose d’une identité usurpée ? Même le président Sarkozy, dans sa dernière conférence de presse, s’en étonnait et manifestait son scepticisme quant à la bonne foi des employeurs ! C’est dire !
L’histoire est d’autant plus croustillante que la grève émane initialement du personnel d’arrière cuisine de restaurants huppés parfois même fréquentés par ledit président…et que l’un d’eux, avouant employer certains de ces « faux papiers » depuis des années…se trouve d’ailleurs à Neuilly !
Les services de la mairie sarkozienne ne sont certainement pas irréprochables dans cette affaire ! Car les identités usurpées servent à plusieurs petits malins en même temps. Qu’observe-t-on en effet : des documents aberrants que tout fonctionnaire, aussi peu zélé soit-il, ne peut décortiquer sans froncer le sourcil : feuilles d’impôts présentant des cumuls salariaux incompatibles avec la rétribution moyenne du travail concerné, inscriptions sous le même nom de multiples activités sur les registres de la Sécurité Sociale, des Caisses de Retraite ou de l’Inspection du Travail. Et personne ne bronche en voyant une même identité présentant un cumul de cinq ou six activités à temps plein !
Et notons qu’aujourd’hui la falsification de documents dépasse largement le contexte de l’embauche : ainsi le patron du service d’obstétrique d’un grand hôpital s’étonnait auprès de la mairie (où étaient déclarés les nourrissons) que « depuis plusieurs années des patientes africaines accouchaient trois à quatre fois par an ! » Mais la réponse de la mairie fut plus que laconique « Ceci n’est pas votre problème » (sic !)
Qui osera dire qu’il n’y a pas là la preuve d’une évidente et bienveillante complicité ?
Et tout cela n’est d’ailleurs pas nouveau : Jacques Chirac, alors premier ministre – cela ne date donc pas d’hier - s’étonnait un jour lors d’une interview sur TF1 de la longévité des chinois : « Comment ce fait-il qu’aucun chinois ne meure jamais en France ? ». Bien évidemment parce que les papiers sont aussitôt transmis à l’immigré suivant…
Pour les patrons naïfs ou « complaisants », c’est tout bénéfice : comment croire en effet qu’il a fallu embaucher des « sans papiers » faute de main d’œuvre, quand l’immigration légale présente un taux de chômage de 22% ? (chiffre avancé par le président Sarkozy lui-même !). Mais il est peut être vrai que ces « immigrés légaux - chômeurs de fait » préfèrent se contenter des prestations sociales diverses auxquelles ils ont légalement droit !
Si certains patrons prennent le risque d’embauche des « faux papiers » c’est évidemment la plupart du temps en pleine connaissance de cause : l’embauche de ces immigrés illégaux, initialement sans ressources et sans protection sociale, permet l’assurance d’une main d’œuvre docile et sous payée, malléable et corvéable à merci : c’est la résurrection d’une nouvelle forme, modernisée, de l’esclavage. C’est bien ce que le Collectif Expulsion Sans Frontières dénonce depuis sa création !
Monsieur Jean François Roubaud, président de la CGPME, ne s’en cache même pas : il va jusqu’à demander lors d’une récente nterview télévisée : « La régularisation globale de trente à cinquante mille immigrés sans papiers qui travaillent légalement depuis des années notamment dans le secteur de la restauration ou des travaux publics » (sic !). On notera que le MEDEF observe dans cette affaire un silence prudent…Par décence sans doute ! Le Ministre de l’Identité Nationale et de l’Immigration se refuse, sur ordre du président Sarkozy, à toute régularisation massive. Enfin, pour le moment !
Personne ne souligne en effet que ces « faux papiers » sont d’abord des délinquants à double titre :
- d’une part, pour entrée et maintient sur le territoire national (à la suite d’une entrée frauduleuse ou d’un visa de tourisme temporaire) ,
- d’autre part et surtout pour usurpation d’identité, ce qui est encore bien le plus grave.
La loi stipule entre autre que l’usurpation d’identité devient un délit pénal dès l’instant où le fait de prendre l’identité d’un tiers a été réalisée dans des circonstances qui ont déterminé ou auraient pu déterminer contre celui-ci des poursuites pénales. Délit passible de 5ans de prison et 75 000 € d’amende (Art. 434-23 du code pénal). Or, il est clair qu’un immigré en situation irrégulière est bien susceptible de poursuites !
Ainsi, non seulement il ne devrait pas être question de « légaliser » la présence de ces individus qui privent de travail, par leur activité, une partie des 22% de chômeurs de l’immigration légale, mais il devrait être d’abord question de leur condamnation aux termes de l’article suscité.
Par ailleurs, dans la Convention Européenne des droits de l’Homme (CEDH) de 1950, un extrait de son article 5, intitulé « Droit à la liberté et à la sûreté » précise:
« § 2. Nul ne peut être privé de sa liberté, sauf dans les cas suivants et selon les voies légales :
al. f : s’il s’agit de l’arrestation ou de la détention régulière d’une personne pour l’empêcher de pénétrer irrégulièrement dans le territoire, ou contre laquelle une procédure d’expulsion ou d’extradition est en cours. »
Ce qui montre, si besoin l’était, l’accord unanime de toutes les instances dans ce domaines !
Quant aux collabos qui profitent, ou du moins qui permettent, par leur bienveillant aveuglement le développement du système, leur situation judiciaire ne serait guère plus enviable si la France voulait bien redevenir un état de droit, ce qu’elle a fortement tendance à oublier en matière d’immigration.
Si faire entrer un étranger irrégulièrement en France est un délit, l’aider à s’y maintenir aussi ! Peine de prison de 5 ans maximum et/ou une amende, plus des peines complémentaires qui visent surtout les trafiquants de main d’oeuvre ainsi que les passeurs (confiscation de véhicule, interdiction d’exercer une activité de transporteur…). [Ces peines sont de 10 ans de prison et 2 millions d’euros d’amende maximum en cas d’aide par une bande organisée.]
Notons bien que les patrons ripoux, parfaitement au courant des représailles qui les guettent, ont déjà pris les devants, en demandant l’immunité les concernant, en préalable aux éventuelles procédures de régularisation au « cas par cas » de leurs employés !
Mais la situation est en fait beaucoup plus grave car elle présage, si rien n’est fait, l’implantation généralisée de réseaux européens de type mafieux susceptibles de fourniture « clef en main » de personnel à bon marché pour des employeurs peu regardant dans des secteurs à main d’œuvre peu qualifiée, en assurant l’acheminement, le passage aux frontières comme la fourniture de papiers de ces nouveaux esclaves. 160 ans après l’abolition de l’esclavage, Victor Schoelcher aurait encore du travail…et à une échelle insoupçonnée !
C’est donc d’abord au niveau du contrôle des entreprises et des services administratifs qu’il importe d’être vigilant et surtout répressif vu le laxisme ambiant! Souhaitons que cela ne reste pas un vœu pieux, que les élus de la nation s’intéressent enfin efficacement au problème, et que monsieur Brice Hortefeux y songe sérieusement et fasse prendre les mesures nécessaires !
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