Communisme ?

Communisme
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« Coco est content ! »

~ Un perroquet à propos du résultat des communistes aux dernières élections.


« Putain de pauvres ! »
~ Le MEDEF à propos d'un attroupement de cocos qui gueulent encore.
Logo des cocos
Logo des cocos


Martyr communiste
Martyr communiste


L'intelligence n'a pas cessé de dÉtacher des hommes de la masse prolétarienne pour les ranger dans deux catégories bien distinctes :

* les intellectuels rebelles, qui ont largement peuplé la Sibérie (à l'exception des savants atomistes) ;
* les intellectuels trop malins, qui ont largement peuplé les goulags.
* ceux qui ne savent pas encore compter, ce qui est une protection efficace contre le pouvoir de l'argent

Les guerriers communistes ne pouvaient combattre qu'ivres, et se battaient avec une faucille et un marteau. Leur état-major planifiait les batailles en dansant sur la carte d'Europe avec des couteaux, ce qui a hélas causé plusieurs accidents graves parmi les officiers généraux (d'où l'impréparation de l'URSS au dÉbut de la Seconde Guerre Mondiale).


Sommaire
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* 1 Le communisme c'est quoi ?
* 2 Mon Dieu, mais comment ça va finir tout ça ?
* 3 Les cocos
* 4 Cocos célèbres
* 5 Les opposants célèbres
* 6 Les cocos en France
* 7 Revenus du Parti Communiste
* 8 Pays communistes
* 9 Voir aussi

[modifier] Le communisme c'est quoi ?

Le communisme (Коммунизм) est une doctrine politique religion permettant d'atteindre l'égalité entre les hommes en les rendant tous également pauvres, cons et alcooliques. Malheureusement il n'a pas été possible de les rendre tous également cons, si bien que l'échec du communisme peut être imputé au fait que la doctrine communiste n'a pas été appliquée en totalité.
[modifier] Mon Dieu, mais comment ça va finir tout ça ?
Con-muniste
Con-muniste
« Le capitalisme, c'est l'exploitation de l'homme par l'homme. Le communisme, c'est l'inverse... »
~ Arthur Koestler

Dans le camp opposé au communisme, la critique n'a pas cessé de s'affiner, finissant sur ce verdict sans appel : Empire du Mal (recyclé plus tard en Axe du Mal). Craignant ne pas être à la hauteur de la finesse de la civilisation américaine, les communistes ont longtemps résisté à l'arrivée de Mc Donald's. Au grand dÉsespoir des touristes altermondialistes, ils ont bientôt cédÉ sur toute la ligne, si bien que la Corée du Nord et la planète Mars sont les derniers lieux exotiques (sans McDo) au monde.

En France, les derniers communistes sont représentés par un buffetMarie-George Buffet et le dernier rescapé des 7 nains qui porte un nom de super-marché (en l'honneur de super Marchais). Les pro-communistes de St-Jérôme se plaisent à gâcher le paysage urbain avec leur slogan ridicule « Révolution : Solution à la pauvreté ».
[modifier] Les cocos
Coco de base
Coco de base
Les cocos s'habillent en rouge
Les cocos s'habillent en rouge

Les cocos sont tous camarades, d'ailleurs ils finissent toutes leurs phrases par camarade ou tovarich, par exemple :

* Passe moi le sel, camarade !
* Il fait beau aujourd'hui, tovarich !

Le rouge est la couleur préférée des communistes, ça fait moins tapette que le rose du parti socialiste.

Le régime alimentaire des cocos est essentiellement composé de smorc grillé, M. Berlusconi ayant reconnu en 2006 que les enfants en bas-âge n'étaient pas mangés mais utilisés comme engrais.

On dit que les communistes naissent dans des arbres: les cocotiers.
[modifier] Cocos célèbres
Kaumunist
Kaumunist

* les Marsiens
* Ronald Reagan
* l'inspecteur Navarro
* Pif et Hercule (avant de dÉcouvrir les vertus du National-Socialisme)
* Adolf Hitler
* Kaji Ryoji
* Philippe de Villiers
* les Marx Brothers
* Eric Lindros
* Jean-Marie Le Pen
* mon chat
* le père Noël
* Le FLCFQ dirigé par William
* Théo le rouquin

[modifier] Les opposants célèbres

* Karl Marx
* Robert Hue
* Olivier Besancenot
* Georges Marchais
* Hô Chi Minh
* Fidel Castro
* Kim Jong-Il
* Pol-Pot
* Staline
* Lui
* mon voisin

[modifier] Les cocos en France

En France les cocos ont comme principal parti politique le PCF (y a aussi Arlette et Olivier mais eux ne servent encore plus à rien). Les cocos sont toujours en train de faire la révolution (on sait pas trop pourquoi, ils doivent s'ennuyer). Le summum est quand ils sont contre un projet/une loi/ou tout autre chose proposée par la droite et que la chose est finalement annulée/modifiée car ils croient qu'ils ont servi à quelque chose. Les cocos aiment bien le rouge et leur star Ernesto Gayvara parce qu'il a fait la révolution, et en plus c'est leur copain le Che, apparamment il est contre le CPE, alors tout va bien.

Un des derniers sites touristique des coco est situé à Amiens en Picardie. En effet, le chomage digne d'un Land de l'Est qui y sévit est propice à une débilisation profonde des habitants et donc un parti communiste puissant.
[modifier] Revenus du Parti Communiste

Les cocos organisent tous les ans La fête de l'Humanité. Ils sont contents parce que c'est populaire grâce aux concerts qui s'y dÉroulent (de toute façon s'il n'y avait pas ça, qui irait ?). Ils imaginent que tout le monde aime leur parti politique grâce à ça. Bref, les cocos ils devraient devenir une association qui organise des festivals/concerts, etc. Les finances du Parti Communiste, de moins en moins basées sur les ventes du journal de droite l'Humanité, sont complètées par de nombreuses industries, dont, à la suite d'un complot, ils détiennent le quasi-monopole en France : la vente de muguet et la production de saucisses-merguez.
[modifier] Pays communistes

* La Suisse (dont le drapeau est une étoile ratée sur fond rouge)
* La planète Mars (d'ou son surnom de "planète rouge")
* Les USA (qui ont préférés mettrent leurs étoiles sur fond bleu)

[modifier] Voir aussi

Capitalisme
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A propos du «stalinisme», du Parti de la Gauche Européenne et de deux, trois autres choses
Dans le document de la conférence nationale de 1995, où figure une première approche des facteurs qui ont déterminé le renversement du système socialiste en Europe, il est mentionné ceci: «Avec la notion d'analyse du "stalinisme", l'impérialisme a montré sa haine de classe envers la formation du système socialiste après la Seconde Guerre mondiale.»
Il est aisé de voir que la constatation ci-dessus ne concerne pas seulement le passé, mais aussi la croisade anticommuniste menée en Europe sous le drapeau du mémorandum anticommuniste, soumis à la discussion dans l'assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe. Le texte même de la résolution est révélateur des inquiétudes, mais aussi des objectifs et des préoccupations qui l'ont dicté.
Egalement révélatrice est l'attitude des structures de l'opportunisme, du Parti de la gauche européenne et de ses forces dirigeantes, qui s'identifient ouvertement avec les arguments de M. Lindblad et ses homologues, qui ne diffèrent pas particulièrement de la propagande après la guerre civile dans notre pays.
Le Parti de la gauche européenne, muet comme une carpe pendant des mois à ce sujet, «désapprouve» la résolution du Conseil de l'Europe avant de clarifier immédiatement (pour qui en vérité ?) que bien sûr... «Tout autre chose est la nette condamnation des crimes du stalinisme, lesquels sont absolument à l'encontre de l'idée de base du socialisme.» Donc il applaudit l'argumentation du mémorandum et n'a d'opinions divergentes que sur la procédure ! A ses côtés, le Parti communiste français, souligne surtout qu'il a accompli à temps son virage : «Le PCF n'a pas attendu la chute de l'URSS pour condamner les violations des libertés qui ont si longtemps bafoué et, parfois, continuent de bafouer les principes humanistes et démocratiques qui sont le cœur du projet communiste.» A ses côtés, l'Aurore clame son «indignation»: «Aleka défend le stalinisme»...
Tout cela ne nous étonne pas. L'hostilité envers le mouvement communiste et le socialisme que nous avons connu au 20ème siècle en Europe et en URSS est la physionomie caractéristique du Parti de la gauche européenne (PGE). N'oublions pas que le Parti de la gauche européenne est celui qui a ouvert la discussion au sujet de la «condamnation du stalinisme», qui pratiquement coïncidé (est-ce bien un hasard?) avec l'attaque anticommuniste majeure à l'occasion du 60e anniversaire de la victoire antifasciste, prouvant ainsi que, dans ses orientations idéologiques, il est en harmonie et s'identifie avec le courant anticommuniste moderne.
L'absence criante d'une quelconque initiative de réaction aux manœuvres antidémocratiques et anticommunistes ou de soutien à la lutte anti-impérialiste n'est pas un hasard. On n'a pas non plus entendu leurs voix ou leur réaction au fait que des partis communistes d'Europe soient interdit, que des communistes soient exclus d'élections, emprisonnés ou poursuivis, que leurs symboles soient interdits.
Et comment pourrait-il en être autrement lorsque, selon son président du PGE, Fausto Bertinoti, «le rejet du stalinisme appartient à notre identité politique» (Conseil exécutif du PGE, Berlin, 8-9 janvier 2005 - alors que le PC de Bohême et Moravie, parti observateur dans le PGE, a presque été soumis à l'inquisition).
«La chose avec laquelle il faut marquer une rupture, c'est le stalinisme. Si nous ne le faisons pas, ceci sera la fin du PGE», a déclaré à la même rencontre Wolfgang Gerke, du PDS allemand. Michael Schuman, également du PDS, a clarifié à la même rencontre les derniers doutes au sujet de qu'ils entendent par la «condamnation du stalinisme»: Pour M. Schuman, le stalinisme est «toute l'expérience d'un ex-pays socialiste», et il précise que «les stalinistes se nommaient marxistes-léninistes».
Il faut rendre justice à Claudio Grassi, de la tendance communiste du Parti de la Refondation Communiste, lorsqu'en critiquant l'«antistalinisme» du congrès fondateur du Parti de la gauche européenne à Rome en 2004, il constate que bien sûr, pour ces gens, le problème n'est pas Staline. «Le problème, c'est la Révolution d'Octobre, le problème, c'est le Lénine et l'expérience des communistes au 20e siècle et qu'il ne faut pas jeter.»
Lors des «années de pierre», renier Staline signifiait sortir de prison. La déclaration moderne de repentance se traduit par un brevet délivré par Monsieur Lindblad et ses homologues (point 4 du projet de résolution: «L'Assemblée reconnaît que malgré les crimes des régimes communistes totalitaires, certains partis communistes européens ont travaillé à la réalisation de la démocratie.», et à la limite, à l'accès à quelques denniers de la Commission européenne attribués aux «partis européens». A chacun la place qui lui revient!


Nikos Seretakis






source : « Rizospastis » 22 janvier 2006