Monsieur Claude Hubert DAUPHIN Tahiti, le 11 avril 2008

Monsieur Claude Hubert DAUPHIN Tahiti, le 11 avril 2008
B.P. 4579
98713 ­ PAPEETE
TAHITI (Ile du Vent)

A

Monsieur le procureur de la république française
Dans le pays dit de « la Polynésie française » (sic)
(Royaume de TAHITI et ses dépendances)
Jean BIANCONI,
Palais de Justice
Papeete- TAHITI

Objet : Classement sans suite n° 08000062 du 18 mars 2008 de la plainte du 31/12/2007.

Sujet : Eléments nouveaux.





A qui de droit,



Le classement sans suite en objet s’est limité à diriger la plainte contre le TRESOR PUBLIC alors qu’était développé le fait que ce-dit trésor public se prévaut d’être la « paierie du territoire de la Polynésie française » (sic) , sous la signature de D. BARES, l’élément nouveau ici exposé est qu’il convient d’inclure l’instruction et l’appréciation au vu de toutes les parties englobées dans l’intitulé générique « TRESOR PUBLIC ».



N’a été retenu aussi que l’abus d’autorité – même pas « contre l’administration » -, alors que d’autres moyens sont soulevés : tentative d’extorsion de fonds et complicité, trafic de devises et complicité, usurpation de titre ou de fonction, faux commis dans une écriture publique ou authentique, ces éléments ayant été confirmés lors de l’audition du 7 mars par devant l’officier de police judiciaire Teva suite à la convocation par téléphone de ce dernier auquel il a été exposé que la tentative dénoncée s’est transformée en extorsion, preuve ayant été fournie ce jour là. L’élément nouveau est donc que les autres chefs d’accusation sont matérialisés mais n’ont pas été pris en compte.





Aucun classement sans suite ni aucune information écrite n’est parvenue au plaignant à ce jour sur une autre plainte qui avait été versée le 7 mars 2008 et il n’est pas fait mention de celle-ci dans le classement sans suite alors que la connexité et la jonction relèvent de l’évidence ; que les délits sont même répétitifs et toujours actuels vu la continuité de l’infraction, cet élément (la plainte antérieure toujours en cours) est donc ici repris comme élément nouveau vu son occultation.



Enfin, le trésor public opère un « change » à sa guise, entre les euros et les francs des colonies françaises du Pacifique et autres francs ne correspondant pas à son obligation de comptable public de tenir une comptabilité exacte ; ainsi est versé ici un versement d’un franc enregistré pour l’équivalent d’un centime d’euro, privilégiant le contribuable payant à coup de un franc= un centime d’euro pour, dans l’exemple ci-joint, ne payer que 838000 francs au lieu de 100000.



Par ces motifs, rouvrir le dossier et faire droit à la plainte initiale.
Et ce sera justice















Claude Hubert DAUPHIN

Pièce jointe :
01 : Change au Trésor public : 1 franc = 1 centime