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Voulant m'acquitter de mon amende (L'euro na pas cours légal "en Polynésie française)

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Message par avec-amour-et-paix Lun 25 Fév - 6:48

XPF pour les nuls. 01 Gratuité au conseil d'Etat.
Première leçon:

1) J'ai reçu une facture en euros. (003)
2) L'euro n'ayant pas cours légal "en Polynésie française" (article 712 du code monétaire et financier), j'ai mis par envoi postal un billet de 1000 francs de la république française en paiement. (002)
3) Le paiement m'est revenu avec la mention: gratuit. (001)

==========

XPF pour les nuls. 02 Menottage à Strasbourg.
Deuxième leçon:

1) Un arrêt n° 288754 paru au JORF le 11 avril 2006 prévoit: "M. Hoffer est condamné à payer au Trésor public la contrepartie en francs CFP de la somme de 1 000 euros". (P.J. ... 0134)
2) Le 13 avril 2006, 60 000 FRANCS CFP et 60 000 FRANCS sont amenés au trésor public, 2, rue du Chevreuil à Strasbourg; le trésorier ne peut les encaisser alors même que le juge suprême l'a ordonné. (P.J. ... Strasbourg menottes)
3) La police intervient: deux PV; l'un d'audition, l'autre pour les scellés. (P.J. ... scellés et ... 01 et... 02)
4) Compte-rendu de cette journée du 13 avril 2006 ci-après:

Compte-rendu des policeries du 13 avril 2006.

Situation à la base:
"M. HOFFER est condamné à payer au Trésor Public la contrepartie en francs CFP de la somme de 1000 euros."

1) M. HOFFER c'est moi.

2) Je suis condamné à payer au Trésor Public: donc je vais au trésor public pour payer ma condamnation.

3) Laquelle condamnation est le paiement de "la contre partie en francs CFP de la somme de 1000 euros"; je vais donc avec de tels francs (CFP) au trésor public pour qu'il "se serve", le problème de combien de francs CFP font 1000 euros n'étant pas "mon" problème; le trésorier me rendra s'il y a trop de francs CFP le cas échéant ou prendra en accompte s'il n'y en a pas assez...

A noter tout de même que j'ai pris soin d'amener 6 billets de 10 000 francs CFP et 60 000 francs en d'autres coupures, des billets de 500, 1000 et 5000 francs (bien lire "francs"...)

Je ne vais pas rentrer dans les détails techniques, sauf pour ceux qui me poseront des questions auxquelles je répondrais volontiers car sinon le mail sera trop long et me reproche mes mails à rallonge:((

Et maintenant les incroyables complications....

Un citoyen exemplaire (moi), qui a lu le JORF (les décisions publiées au JORF portées à ma connaissance suffisent pour me permettre de payer ce à quoi je suis condamné, je n'ai pas à attendre tel ou tel avis de recouvrement. Je suis libre de payer AVANT tout avis de recouvrement qui me serait envoyé... d'où l'adjectif "exemplaire" accolé à "moi"....:))))

Bon, j'arrive donc vers 14h30 au trésor public, 2, rue du chevreuil à Strasbourg avec mon paquet de pognon.

Je produis la décision de justice qui m'avait été notifiée par le greffe le 5 avril et que j'ai reçue quelques heures plus tôt depuis TAHITI...

Je pose le tout sur le guichet et je dis que je veux payer mon amende... pour recours abusif!

Le guichetier en appelle à son supérieur, lequel commence par téléphoner à la banque de France, au ministère à je ne sais qui....

Il me demande de patienter, ce que je fais, en discutant au passage avec les nombreuses personnes venues, comme moi, payer leurs amendes et le tout commence par être assez interactif: "tout le monde" est intéressé ou intrigué par mon problème....: je veux payer mais le trésor ne peut ou ne veut pas accepter mon paiement....

Vers 15h10, le trésorier me présente une jolie lettre (vous l'avez reçue par e-mail, sinon me la réclamer, comme les autres documents: PV d'audience et PV de scellés de la Police, que je transmets sur simple demande par retour d'e-mail) qu'il me lit.

Je lui dis qu'il n'a pas bien compris: ses problèmes d'avis du trésor public et autres procédures ne me concernent pas, moi, tout ce que je veux, c'est m'acquitter de ma dette telle que le juge suprême Bernard STIRN l'a arrêté: ni le tréosirer, ni moi, ni la police, ni personne ne peut contrevenir à une décision publiée au JORF et qui n'a d'ailleurs fait l'objet d'aucun rectificatif si tel devait être le cas!

Bref, pour ceux qui connaissent le regretté Fernand RAYNAUD: "J'voulais un croisssseiant" "Nous n'avons pas de croisssant, Monsieur" "Heeeeinn? Bein j'prendrai alors DEUX croisssseiants...", etc...

Je lui dis que ce n'est pas çà que je veux, c'est beaucoup plus simple: soit il prend mon paiement, même en acompte, en dépôt ou que sais-je et m'acquitte totalement ou partiellement ma dette, ou alors, il refuse de prendre mon paiement et me rend donc mon bien... mais uniquement après m'avoir donné quitus; que je ne dois plus le montant de cette condamnation.

Dilemne... s'il en est!!

Je lui explique même que si je reprenais mon argent et me faisais attaquer à la sortie... je devrais à nouveau travailler dur pour gagner de nouveau cette somme pour le paiement de l'amende!

Re-bref: je veux payer. Prend l'argent ou acquitte ma dette.

Blocage total pour résumer.

A 15h15 je fais le 17 (Police secours) et j'expose que je suis confronté à un problème de fausse monnaie au trésor public.

L'agent me répond qu'il n'a pas voiture de patrouille disponible.

J'attends une demi-heure et à 15h47 je rappelle le 17: Tutoyant tout le monde, l'agent me rudoye: "on n'a pas gardé les cochons ensemble" (personnellement je n'en ai pas encore gardé, donc je ne sais pas avec qui il en avait gardé, ne nous connaissant pas...) puis avant de me raccrocher au nez il me répond "Vous cassez les couilles au trésor public!".

J'active mon rappel automatique chaque fois que je me fais raccorcher au nez et donc les appels au 17 apparaissent à 15h50, 15h52 et 15h54 avant que je n'arrête de rappeler.

Je continue de patienter... tout en discutant dans la salle d'attente du trésor public avec la foule nombreuse des payeurs d'amendes.

A 16h40 je dis au trésorier (le paquet d'argent est toujours posé sur le guichet et le payeurs d'amende ne savent pas si Noël avant l'heure (Pâques...) et s'ils peuvent se servir!?) : Si tu veux fermer à 17h00 et si tu refuses de prendre mon argent, tu ferais mieux d'appeler la police car je ne partirai pas avant d'avoir mon reçu et je peux attendre jusqu'à mardi matin dans les locaux la réouverture des guichets.

Le trésorier me dit qu'il me fera sortir.

Je lui dis qu'il faudrait alors utiliser la force par télépatie car je le vois mal sortir de son "aquarium" pour porter la main sur moi dans un lieu public. Il peut fermer la porte mais moi je reste dedans jusqu'à ce que j'ai pu, en honnête citoyen, payer mon amende.

Vers 16h50/55, arrive la police.

Ouf.

Je leur ouvre la porte en disant que c'est moi qui les appelé.

De suite il s'adressent au trésorier derrière sa vitre.

Je dis que c'est moi qui les ai appelé et qu'il doivent d'abord écouter ce que j'ai à dire et ensuite seulement s'adresser au trésorier qui commençait à gesticuler, certainement réconforté (?) par la présence de... ses pourvoirs d'amendes.... Eh oui, çà "peut" créer des liens?

J'explique mon cas, je montre tous les documents et le chef policier me dit: "Ben il faut payer en euros" ou un truc comme çà. Je lui dis que ni lui, ni moi, ni le trésorier ne pouvons modifier une décision de justice pour arranger un tel ou tel autre.

Sur ce le chef passe "derrière" chez le trésorier, je reste avec la policière... puis le trésorier se met à ordonner : "Faites sortir ce monsieur".

Là je dis à la policière: "tu obéis aux ordres du trésorier?"

Moi je reste ici jusqu'à ce que j'aie le reçu de l'argent que j'ai déposé et après je m'en vais bien évidemment.

Re-"Faites sortir de monsieur"....

Sur ce le chef prend l'argent sur le guichet et veut me le redonner "presque" de force. Je refuse bien sûr.

"Ah vous ne voulez pas reprendre votre argent, on vous emmène!".

Le trésorier lui remet une enveloppe "Krafft", il met l'argent dedans et la policière sort les menottes.

Je la fixe et lui dis: "Pas les menottes."

Je le répète une deuxième fois.

Elle me met les menottes!!!!!!!

Mains derrière le dos!

J'ai mon sac d'ordinateur en bandoulière et je monte dans la voiture de police.

Je rêve!

Bien sûr ceux qui me connaissent savent que je me marre très souvent, mais là, j'éclate de rire tout seul sur le siège arrière de la voiture de police.

Je rigole, je rigole, je rigole. Je vois tous mes amis, mes copains et copines qui aimeraient voir çà et je rigole.

Devant le chef et la policière sont "plutôt" tendus...

Moi je continue de me marrer.

Puis ils mettent le girophare. TOC sur le toit de la voiture et LES sirènes: une pas si forte et une plus forte?

Et voici que dans les embouteillages de 17h00 de la veille du vendredi-saint (férié en Alsace) nous fonçons à fond la caisse zigzaguant entre les voitures, les motos, les semi-remorque, fonçant sur la bande d'arrêt d'urgence (une moto a failli pouvoir confirmer çà si le chef ne l'avait pas manqué de peu...) et moi... qui me marres de plus en plus.... et eux... qui foncent de plus en plus. DU DELIRE! J'abrège mais vraiment, c'était un moment de pur bonheur: la bêtise et la connerie élevé à un grade supérieur.

Tendus mes deux gardiens l'étaient à tel point qu'en rentrant sur le parking du commissariat, le chef a fait une mauvaise manipulation et a à nouveau fait fonctionner la sirène SUR LE PARKING du commissariat, arrachant un rire à la policière que je pensais ne pas pouvoir connaître cette fonction de plaisir.

Donc le chef est fâché avec lui-même pour avoir actionné la sirène et pour avoir arraché un rire à sa sous-cheftaine.

J'arrive donc menoté et escorté au poste, je dis bonjour à tous ceux que je croise et qui parlent à mes gardes du corps, et bien sûr ne peux m'empêcher de rigoler, moi, mon complet beige clair fait sur mesure à Bangkok, ma chemise rouge et blanc de Arii créations: pas trop seyant tout çà, avec les bras serrés dans le dos... avec l'ordinateur qui glisse de mon épaule...

Je m'assied à l'extérieur sous garde de la policière et le chef rentre dans le bureau du capitaine.

J'entends le ton monter et je devine "qu'ils" ont fait quelque chose de travers... Je perçois même à l'extérieur un "Je vous l'avais déjà dit, vous ne pouvez pas faire çà..."

Le capitaine sort, je suis assis, menoté, je lui dis salut et réponds à sa première question.


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Dernière édition par avec-amour-et-paix le Lun 25 Fév - 6:50, édité 1 fois
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Voulant m'acquitter de mon amende (L'euro  na pas cours légal "en Polynésie française) Empty "ON NE ME TUTOIE PAS!"

Message par avec-amour-et-paix Lun 25 Fév - 6:48

"ON NE ME TUTOIE PAS!"

Moi: Bon, alors je ne te parle plus.

Lui.... embêté!

Je lui dis, écoute, c'est simple: j'ai UN document à te montrer mais là, avec les mains comme çà, c'est plutôt difficile...

"Enlevez-lui les menottes".

Je lui montre l'ordonnance 288754, l'article 3 et il dit: "C'est vous qui avez raison." "Non, non, c'est vous qui avez raison..."

Il s'adresse au chef qui voulait intervenir et lui dit: "Venez dans mon bureau après avoir auditionné Monsieur".

Le chef s'en va, mais j'ai vu qu'il a piqué une crise, presque des larmes aux yeux, la haine quoi...

Les suivant (sans menottes hé hé...) il dit à la policière: "Tu fais l'audition".

Elle, paniquée: "J'ai jamais fait!"

(Intérieurement je continue à me marrer comme c'est pas possible.)

On rentre dans un bureau pour l'audition: "Merde" (la policière) il y avait déjà une audition en cours.

Elle explique à l'auditionneur qu'elle n'avait jamais fait d'audition, il lui dit qu'il va lui montrer d'ici 20 minutes, dès qu'il a fini.

Elle et moi allons donc dans un autre bureau et elle dit: bon je vais faire l'audition ici.

L'ordinateur était déjà allumé... mais elle n'a pas pu ouvrir le programme!

Elle sort pour aller s'enquérir dans la salle à côté et je sors aussi pour ne pas pouvoir être soupçonné de toucher à l'argent qui était sur la table.

Là, elle reste dans le corridor donc nous sommes en vue l'un et l'autre, la porte de la salle est ouverte, elle ne dit rien et attend que les autres personnes aient terminé de parler.

Et ces personnes donnent des conseils au "chef": "Tu dois dire que le mec (moi) avait l'air dangereux pour lui et pour les autres" pour justifier les menottes.

Donc j'assiste pratiquement à leur discussion où il veulent me piéger! Surréaliste!

Bon sur ce, arrive le policier aideur et nous allons dans son bureau.

Re: "Vous devez me vouvoyer."'. Moi: "Tu pourrais me donner le texte qui prévoit çà?"

Lui : "on ne va pas faire une audition, vous allez reprendre l'argent et l'incident est clos."

Moi: "Ah non, on fait l'audition et je ne vais pas reprendre l'argent, il n'est pas à moi. Si je le reprends, tu vas appeler la première patrouille qui va m'arrêter au premier feu rouge et m'arrêter pour faux monnayage: le trésorier a dit que l'argent n'est pas légal! Je connais les façons de faire de la police: je ne reprends pas mon argent!"

Donc audition.

Extraits pour ceux qui ne voudront pas une copie de l'audition.

"Acceptez-vous que cet argent soit placé sous scellé aux fins de remise au trésor public?
Réponse: Oui, dès mardi 18 avril."

Eh oui, maintenant l'argent que la police a emmené du trésor public... elle va devoir le ramener dès mardi (j'y veillerai....) au trésor public!

C'est pas beau çà? La police nationale se substitue à moi pour payer ma condamnation. (Si quelqu'un veut faire un film sur le sujet me contacter pour les droits d'auteur....)

Et je signe: Le président de "la Polynésie française" (sic)

Je précise qu'à ce stade on a depuis, beaucoup d'égards envers ma petite personne. "Excusez-moi çà va encore prendre quelque minutes", etc....

Puis vient la mise sous scellé en deux scellés: un pour les 6 billets de francs "CFP" et le deuxième pour les "francs".

Extrait de l'audition de scellé:

"Après vérification des textes parus au journal officiel et la confirmation de l'authenticité du document produit par Mr HOFFER....
Question: acceptez-vous de payer votre amende d'une autre manière au trésor public?
Réponse: "Non, je me conforme à la décision du président Bernard STIRN. Il y est stipulé que le paiement....
J'ai donc à payer cette somme en francs CFP qui est une devise.
Pour payer cette amende j'ai donc apporté avec moi la somme.
....
Voulant m'acquitter de mon amende je vous (c'était tu mais elle a écrit "vous", je n'ai pas relu, à ce moment, à 20h00 tout était plus relax, tout le monde venait nous voir (ah oui, j'ai changé entre-temps de policière, Chrystelle était bien plus cool que l'autre (qui en plus, la pauvre menotteuse, avait un mal de crâne et un rhume), je dis nous, mais surtout moi, le président de "la Polynésie française" (sic), doté d'une immunité tout à fait spéciale de surcroît....) remets cette somme afin qu'elle leur parvienne, et qu'il me soit rendu la monnaie, décompte des frais de change entre devises inclus.

Et le bouquet final:

Je dis à Chrystelle de prévoir une voiture pour me ramener à ma voiture en ville. Elle appelle l'accueil. Je lui précise que j'en veux une avec des girophares qui marchent et un bon chauffeur car maintenant c'est moi qui suis pressé. Au téléphone, pour justifier qu'on me ramène, elle dit: "suite à une interpellation par erreur..." Je la corrige: "une quasi-bavure..."

et donc j'ai trois policier qui me reconduisent à ma voiture vers 21h15... dont je ne me rappelle plus exactement l'endroit.

Trois tours de manège plus tard, on m'ouvre la porte (la sécurité "enfant" était mise....), après avoir parlé de TAHITI, que tous les trois aient enfin réussi à m'appeler correctement: soit René, soit président de "la Polynésie française" (sic), ce qu'ils ont fait tous trois ( le costaud qui était assis à côté de moi à l'arrière avait quelque difficulté mais à la fin çà allait...), trop contents me conduire.

Le policier devant moi; lorsque je lui ai expliqué l'article 5 de la déclaration des droits de l'homme a dit: "Je me suis toujours posé la question à quelle situation pouvait correspondre cet article 5 car tout est prévu dans les textes, code pénal, etc..." et moi je lui ai répondu: "Eh bien voilà, maintenant tu sais!"

Je suis rentré chez mes parents à Geispolsheim à 22h00 et là j'ai eu droit à une nouvelle crise de rire: la police avait téléphoné à mes parents.

"-Police nationale, n'ayez pas peur Madame, il n'y a rien de grave, vous avez un fils qui s'appelle René?
Maman: oui
-Est-ce qu'il est malade?
Non!
-Vous savez quel est son travail?
Oui, il fait taxi, il a 51 ans
-Je peux vous demander votre âge
Oh moi j'ai 76 ans, lui il est assez âgé pour savoir ce qu'il fait, il a 51 ans.
-Il ne veut pas reprendre son argent.
Mais l'euro n'existe pas à TAHITI! C'est mieux que vous téléphonez lorsque mon mari sera là, il rentre dans une demi-heure."

L'agent a laissé son numéro et Papa a lui a donc téléphoné à son retour à la maison vers 18h00 : il rentrait du "2, rue du Chevreuil" qui était fermé lorsqu'il était arrivé à Strasbourg à cause des embouteillages. (eh oui, sans girophares on n'avance pas vite dans les embouteillages)


Papa a téléphoné et demandé où j'étais
Ils ont dit "rue de l'hopîtal".
papa voulait l'adresse exacte mais ils ne l'ont pas donnée.
Alors il leur a indiqué: faites attention, est que vous savez à qui vous avez affaire, il est président de la Polynésie française et il a l'immunité. (Avec Maman qui souffait derrière "(sic), (sic)...)
Le policier: Comment!
-Il s'est autoproclamé président vu la loi du 27 février 2004. (Toujours Maman derrière: "(sic)", "(sic)"...) c'est une loi qui était prévue pour Monsieur Flosse et Monsieur Chirac.

Le policier: (Commentaire de Papa: Il a changé de ton!) "Là il est entrain d'être auditonnée. On ne savait pas çà."

Il a aussi demandé l'âge de Papa qui lui a dit: 77 ans.

Papa lui a également dit que j'étais à Francfort (René: à la banque centrale européennee le 7 décembre 2001) pour parler à Monsieur DUISENBERG (René: "M. EURO" (sic)... qui s'est depuis suicidé-Noyer le 31 juillet 2005.) pour la même raison: l'argent. (René: nous y étions ensemble: Papa et moi, accompagnés par deux amies cinéastes qui ont filmé. Cassette visible...)

Plus tard Papa a retéléphoné vers 20h00 ou lui a dit: il est dans le couloir, c'est fini, il va rentrer.

L'audition de mise sous scellés de l'argent s'est finalement teminée à 20h trentes.

Ensuite Papa Maman et moi sommes allés... en boîte, au Chalet et avons fêté mon premier et seul menottage où JC, un ami a offert la soirée au président de "la Polynésie française" (sic).

A suivre:
Plainte contre la policière qui m'a mis les menottes
Plainte et demande d'enquête au ministre de l'intérieur Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA
Lettre à Monsieur Pierre TRUCHE de la commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS)
Demande de rapport sur l'appel téléphonique à ma mère: - je suis majeur et immunisé:)), qui viennent faire mes parents dans çà? - Et demande de copie de tous les enregistrements téléphoniques effectués, tant le 13 après 17h00 que, le cas échéant, les écoutes actuelles (hier par exemple, il y avait énormément de friture sur le 03 88 68 88 11 notamment vers les 20h30) et copie de leur retranscription.
Demande par voie de justice du paiement des intérêts journalièrement du surplus éventuel du montant que la police a RE-MIS au Trésor public jusqu'à parfait encaissement officiel de la somme et acquittement de mon amende infligée par le conseil d'Etat, avec demande de frais irrépétible pour chaque recours juridique journalier jusqu'à parfaite exécution.



Le président de "la Polynésie française" (sic)
Fils de Madame HOFFER née NUSS Marie et de Monsieur Henri HOFFER

René G. HOFFER

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Message par avec-amour-et-paix Lun 25 Fév - 6:56

XPF pour les nuls. 03 Répondre et laisser mariner.
Troisième leçon: (Après "avoir passé à la télé")

http://www.presidentdelapolynesiefrancaise-sic.org
et cliquer sur

"Vidéo France 3 Alsace le 25/04/2006

(format Real Player; 5,15 Mo)"


1) Attendre une réaction. (P.J. ...type BUYDENS)
2) Y répondre (Voir texte ci-dessous)
3) Joindre toute preuve utile (P.J. ... banque de France XPF...)
4) En l'absence de suite s'assurer soi-même du résultat. (P.J. ...Réponse du trésor...)

==========================================

Monsieur le commandant de police,
Coordonnateur judiciaire,
Jacques BLANCK,

Ta lettre n° 21678/06 du 29 juin dernier m'est parvenue ce 22 juillet.

De suite je tiens à te rassurer: je ne vais bien sûr pas "reprendre" "mon" argent "auprès de " toi dans le délai de 15 jours (?) que tu m'imposes, pour des raisons qui ne doivent pas t'échapper (!); a fortiori, ni mandater de tiers dans les conditions que tu as pris soins d'élucider.

Je te saurai gré également, pour tes échanges de correspondance à venir, vu ton intervention volontaire dans le dossier, et ton initiative, de bien vouloir t'adresser à moi ès-qualité, pour éviter toute confusion; les juges chargés de l'instruction de l'affaire CLEARSTREAM ayant eu cette correction, il sierra d'y veiller mêmement, notamment eu égard à l'article 162 de la loi orga-nique 2004-192 du 27 février 2004.

Voici donc plus en détail, ma réponse rapide à ta missive.

1) Le ministère de l'intérieur, dont tu es fonctionnaire, n'est pas compétent pour statuer hors du territoire national. Ainsi, il appartient à la seule haut-commissaire-gouverneuse Anne BO(C)QUET, membre de l'ex-ordre de TAHITI nui d'intervenir là où le président de la dernière république française n'a aucun pouvoir pour des affaires intéressant une zone non comprise dans la "France métropolitaine" (sic), délimitation géographique qu'il ne m'est pas connu de connaître par les textes...

2) Ton champ d'action à la "direction départementale de la sécurité publique du Bas-Rhin", t'empêche même, me semble-t-il, en droit, d'opérer hors de ce département; et pour cause: toi-même tu restreints la territorialité du problème dans lequel tu es intervenu à la "France métropolitaine", expression que tu utilises sans même citer la base légale et la définition juridique d'un tel espace français, voire franco-européen à en croire la jurisprudence du conseil d'Etat n° 271800 (Canis lupus)

3) Tu mets en avant que telle devise n'aurait pas cours légal "en France métropolitaine"... tout en menaçant de déposer toi-même tel argent "à la Banque de France" sise précisément... en France "métropolitaine" '(Strasbourg, près de la place Broglie, Paris, près du conseil d'Etat, etc...), pour utiliser ta propre expression. Je présume que tu pourvoirais toi-même au transport de cette devise illégale en ladite France "métropolitaine"? Donc à tes risques et périls? De convoyeur de fausse monnaie.

4) Persuadé que tu auras pris connaissance des DEUX scellés, tu te seras alors aperçu que ce ne sont pas "120 000 francs en devises C.F.P." que j'ai confiés à la police nationale, avec ORDRE DE LES REMETTRE LE 18 AVRIL au trésor public qu'ils n'auraient jamais dû quitter, mais UN scellé de 60 000 Francs CFP et UN autre de 60 000 en coupures de 500, 1 000 et 5 000 francs, étant précisé que les francs n'ont plus cours en France (métropolitaine, alsacienne, UMPdienne, etc...).

5) Pour te prouver ma bonne foi: je te précise également que je ne "souhaitais" pas m'acquitter d'une amende en francs C.F.P., mais que j'ai été CONDAMNE à devoir m'acquitter de cette somme par les juges suprêmes, par une décision publiée au JORF le 11 avril 2006; il n'est donc point question de souhait, mais d'une obligation citoyenne à laquelle j'ai déféré. Tout à fait normalement et naturellement.

6) Je ne refuse pas non plus de "reprendre" "mon" argent. Au contraire, je le reprendrai sitôt que le Trésor public aura acquitté l'avis de recouvrement et délivré reçu, comme l'a déjà fait le régisseur des recettes du conseil d'Etat. (NB: Libre à toi aussi de te substituer à moi pour payer mon amende, en tant que tiers, avec TES "sous", d'autant que beaucoup d'autres amendes attendent d'être règlées, ainsi que celles à venir.)

7) Concernant ton allégation, il est faux de prétendre que j'avais refusé de quitter les lieux avec "mon" argent "de sorte que la police était requise: il suffira de lire le procès-verbal d'audition et réclamer le détail des appels téléphoniques passés depuis mon appareil portable pour constater que C'EST MOI qui ai téléphoné à la police le 13 avril dès 15h00 environ PARCE QUE LE TRESORIER REFUSAIT d'encaisser la somme que je devais au Trésor public! Et alors même qu'un fonctionnaire ne peut refuser le paiement d'une amende en sa qualité d'agent public, concernant les deniers publics.

Cool Que la somme de "120 000" soit toujours "entre les mains de la police", en fait, me "rassure": cela prouve que les menaces de Monsieur Patrick ROUSSEL dont j'ai fait l'objet n'étaient qu'une tentative d'intimidation (condamnable au même titre que la menace); qu'en fait, en te mettant en avant comme fusible, il admet son impuissance à pouvoir camoufler dans le budget national dont la comptabilité officielle est exclusivement exprimée en euros, les francs et autres francs des colonies françaises du Pacifique, la double devise française dont la "Banque de France" (la mal-nommée puisqu'il ne peut s'agir que de la banque centrale française depuis l'introduction de "l'euro") est le blanchisseur "officiel", via tel l'IEOM.

9) Quant au montant que tu définis ainsi: "120 000 francs en devises C.F.P.", je reste coi devant ta perspicacité que ne peut être qu'innée: il y aurait donc toujours dans les arrêts de la juridiction administrative suprême des francs à l'heure où seul les euros figurent dans le budget national français. Et des francs non métropolitains qui seraient une devise étrangère française? En tout cas des francs non métropolitains, à suivre ton raisonnement!?

10) Et quid du montant de ces "francs en devise C.F.P", si ce n'est peau de balle!

En effet, le décret du 31 décembre 1998 prévoit:

"Art. 1er. - A compter du 1er janvier 1999, la parité du franc CFP exprimée en millier d’unités est fixée à 8,38 euros."

Autrement dit 1 000 francs CFP (en fait des francs puisque seuls les billets de 10 000 sont libellés en francs CFP) représentent 1 000 UNITES, c'est à dire 0,00 euro!

En effet, que la "parité" de 1 000 francs soit de 8,38 euros, la valeur de 1 franc des colonies françaises du Pacifique est de 0,00 euro. Multiplié par 1 000 ou par des trilliards n'y change rien, LE franc vaut 0,00 euro.

ET INVERSEMENT: 0,00 euro vaut 1 franc des colonies; autant dire que "mes" 120 000" ne valent pas seulement tout l'or du Monde, mais encore ont pour mérite d'abolir l'argent.

Et ce n'est plus Monsieur Wim DUISENBERG qui est là pour me contredire en ce jour moins 13 de son suicide, noyé... pour rappeler son ex-numéro deux à la BCE, l'actuel GOUVERNEUR de la "Banque de France" (sic) Christian NOYER?

Pour en revenir à la parité: 1 000 valant 8,38, 100 valent 0,83, 10 font 0,08 et UN franc "des colonies françaises" du Pacifique fait rien: 0,00 euro!

10) Enfin, si, vu ce qui précède, tu mettais, pour une raison qui te serait "propre", ta menace à exécution, savoir, contraint ou pas contraint, volontairement ou forcé, "déposer" l'argent "non récupéré" à la "Banque de France" (sic), ta responsabilité, a minima de convoyeur de fonds illégaux, avec préméditation, ne pourra qu'apparaître dans mes grands dossiers ouverts sur les sujets de francs des colonies françaises du Pacifique.

11) Persuadé que ce n'est pas le cas, mais néanmoins, pour être complet, au cas où "l'on" voulait te persuader que la franc-maçonnerie, la loge alpine Suisse et autres officines occultes pouvaient te protéger, que tu ne risquais rien, je ne peux que t'informer que tous les colliers de perles noires (si tel est le cas, la photo n'étant pas des plus nettes) d'une dame Cécilia SARKÖZY de NAGY-BOCSA, le 14 juillet dernier, n'y pourront rien.

Fin de film.

Monsieur "France-Océanie" Jacques-CHIRAC "kwerrya" le sait. (Voir PJs)

Je te remercierai donc de bien vouloir me répondre par retour d'e-mail que le délai de 15 jours, en fait, n'est qu'une façon de parler, une forme de style, en l'absence de texte me permettant, par exemple de contester ce délai arbitraire; de même lorsque tu écris que tu te "vois contraint de déposer" ceci ou cela, tu ne m'indiques pas le motif et la teneur de la contrainte pour que je puisse l'apprécier; en droit: contrainte de fonctionnaire comme on l'a vu sous le régime de Vichy, promesse d'impunité comme ce qui se passe dans les affaires de libération d'otages occasionnellement, ou comme dans l'affaire "Carlos", "enlèvement" diplomatique, promesse de promotion, de fortune ou autre? Il m'importe en effet de connaître la contrainte à laquelle tu es soumis, afin de l'apprécier en droit et le cas échéant pouvoir la soulever devant tels tribunaux, voire essayer de comprendre ton intervention intempestive dans ce dossier.

En espérant que tu apprécieras les éléments que je te soumets ici, et le détail des informations que je te communique,

Restant à ta disposition pour t'en apporter d'autres en cas de besoin,

Je t'adresse mes salutations depuis TAHITI,

Avec Honneur

Le président de "la Polynésie française" (sic)
René G. HOFFER

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Message par avec-amour-et-paix Lun 25 Fév - 6:59

XPF pour les nuls. 04 Bien mélanger les z'euros et les z'XPF.

Quatrième leçon:

1) Pour consigner 1000 euros au TGI Paris : salmigonder XPF et euros (P.J. ...002)
2) Régler quelque menu détail tel refaire un chèque non raturé et renvoyer le tout (P.J. ... 001)
3) Vérifier au tribunal administratif de Strasbourg que tout çà... n'est pas de sa compétence, affaire n° 07-2779.
4) Laisser le TGI s'enferrer (affaire 0631108944, jugements des 10 juillet ET 9 octobre 2007)
5) Attendre la décision en appel sur le refus d'encaisser. (19 février 2008)

==========

XPF pour les nuls. 05 Outre-mer, hein? Verser l'intendance.

Cinquième leçon:

1) A TAHITI, rédiger un chèque (manuel le cas échéant) sur un compte en
France... en francs pacifiques pour se conformer à telle décision de "justice" ( P.J. ... 0002 ET 0003)
2) Prendre le reçu où ne figure à juste titre aucune devise, simplement "300 000 (P.J. ... reçu)
3) Attendre la réaction du larbin de service (P.J. ... ARLANDA...)
4) Y répondre. (Voir lettre ci-dessous)

==========================================


A

Ministère de la justice

Le directeur de greffe René ARLANDA

42, avenue Pouvanaa a Oopa

BP 101

98717 - PAPEETE







AFFAIRE: N° de Parquet 07002476 N° de jugement 1575/07.

N° de Parquet 07002476 N° de jugement 1575/07. Réplique au courrier non référencé du 16 janvier 2008 ayant pour objet «». N° de Parquet 07002476 N° de jugement 1575/07.
OBJET : Réplique au courrier non référencé du 16 janvier 2008 ayant pour objet «».

Réplique au courrier non référencé du 16 janvier 2008 ayant pour objet « Consignation d’un montant de 300 000 cfp ».






Monsieur le fonctionnaire français expatrié René ARLANDA, le directeur de greffe du ministère de la justice de la dernière des républiques de la France,

J’ai bien reçu ton courrier non référencé où tu exprimes tes regrets de m’informer que le Trésor Public de la dernière des républiques de la France en faillite a rejeté « ce mode » de paiement, savoir un chèque, manuel, expression que tu mets d’ailleurs entre guillemets.

Tu m’enjoins de « procéder dans les plus brefs délai au règlement de la dite consignation par tout autre mode de paiement autorisé », et, tu m’as retourné l’original de mes documents et pièces jointes.

Ce faisant, tu es non seulement dans l’erreur mais encore, tu as pris là, des initiatives personnelles sur en-tête « Liberté – Egalité – Fraternité REPUBLIQUE FRANCAISE » que je soumets sans délai à Mademoiselle Rachida DATI, ministre de la justice dont tu es le directeur de greffe, et au conseil supérieur de la magistrature présidé par le double-divorcé chanoine Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA à l’heure des Clearstream, Société Générale, Caisse des dépôts et… consignations, et autres XPFeries à venir puisque les tribunaux administratifs ne sont pas compétents pour connaître d’un refus d’acceptation de consignation. (P.J. 01)

Ton courrier omet de préciser ma qualité - en laquelle j’ai d’ailleurs introduit la citation contre l’haut-commissairette de la république française « en Polynésie française » (sic) Anne BOQUET/BOCQUET - ; il conviendra qu’il y soit remédié dans ton prochain courrier.

En « objet », tu as blanchi les 300 000 Francs pacifiques en « cfp » (occultant « FRANCS ») ce qui prouverait que tu n’ignores pas qu’il n’y a plus de FRANCS en France et que tu essaierais de passer cette dénomination rappelant l’ancienne devise du colonisateur, sous silence ; il conviendra également, si ce qui précède n’était en fait qu’une étourderie, une absence par exemple, de ne pas dénaturer dans ta prochaine missive le « jugement » 1575/07 de ta collègue fonctionnaire française expatriée Marie-Claude PENA : la somme est exprimée en francs pacifiques. En rien d’autre. A preuve du contraire.

En introduction, tu reprends cette expression « cfp » alors même que ces trois lettres ne figurent pas sur le chèque libellé en « FRANCS PACIFIQUES », écrit en majuscule, et de façon bien lisible. A l’heure où, en pleine campagne électorale indigène, les Nouvelles de TAHITI, le 31 janvier 2008 avec la complicité de l’agent Edmond TRAN qui promeut ainsi le candidat de l’UMP Gaston T ONG SANG à l’occasion (en page 2 en détail, et en double page intérieure), exposent derrière le trio UMP TONG SANG-ESTROSI-BOQUET/BOCQUET, un immense chèque où l’on peut lire, outre « XPF », en toutes lettres sur ce chèque de la SOCREDO « A rédiger exclusivement en Francs pac(ifiques) ». En clair et en suivant ton raisonnement, ce chèque de XPF Francs pacifiques ne serait donc pas valable s’il venait à être remis au Trésor Public de la France en faillite. Si tel était le cas, je ne pense pas que la triplette ci-dessus se soit laissée photographier devant un faux chèque. Bras levés sous forme de V pour victoire de surcroît.(P.J. 02). Persuadé que tu reconnaîtras ton erreur, j’attends une lettre rectificative où au moins figureront les termes exacts utilisé tant par Madame Marie-Claude PENA que ceux portés sur le chèque, sinon, c’en serait à désespérer : tu aurais aussi des lacunes de lecture ou de déchiffrage de lettres en plus à ton arc.

Tu écris aussi que le Trésor Public « a rejeté ce mode de paiement » sans même m’en donner le(s) motif(s). En effet, aucun écrit du Trésor Public n’est joint et les originaux sont vierge de toute trace écrite d’un quelconque Trésor Public. Ton assertion est d’ailleurs démentie par le reçu L294681 qui m’a été délivré le 4 janvier 2008 (P.J. 03) non sans avoir préalablement, pour Madame le régisseur de la cour d’appel « de Papeete », pris l’avis du substitut du fonctionnaire français expatrié se disant « procureur de la république française » hors du territoire national et européen de cette dernière, lequel n’a émis aucune objection au paiement par chèque manuel. A ce sujet, je ne peux que te suggérer de relire l’article L 131-2 du «code » monétaire et financier - que tu n’es pas censé ignorer -, et, sans délai me répondre que tu es dans ton tort de m’interdire de m’acquitter de la somme qu’il m’a été imposée de payer. Dans les conditions de cette imposition par voie de justice. A défaut, l’article 40 du code de procédure pénale de la France t’oblige à dénoncer tout délit que j’aurais commis alors que je m’en suis tenu aux textes en vigueur dans la dernière des républiques de la France. Sauf, pour toi, à être, en tant que le directeur de greffe, de connivence avec le « Trésor Public ».

Enfin, en me retournant le chèque et alors même qu’il m’en a été donné reçu, tu te rends concussionnaire par ce geste. Je tiens à te rassurer de suite : à première demande, je te retournerai immédiatement le chèque que tu m’as retourné vu que je tiens à me conformer à la décision qui m’a été infligée par la fonctionnaire française expatriée Marie-Claude PENA, ne serait-ce que pour prouver que le Trésor Public peut, bien évidemment, encaisser un chèque manuel. En une double devise franco-française, dans une double comptabilité que permettent les comptes non publiés au Luxembourg, via la société CLEARSTREAM par exemple où tant la banque de France pour sa comptabilité DGSE que le ministère du Trésor service de la trésorerie, avaient et/ou ont toujours des comptes.

Vu ce qui précède, soit tu t’es toi-même fait le complice volontairement, du Trésor public de la France en faillite en te servant de ce dernier ou en te couvrant derrière lui (et vice-versa), à l’instar des « collabos » des années 1940 à 1943 en France, ou alors y contraint - tel un Monsieur Jacques BLANCK commandant de police coordonnateur judiciaire à Strasbourg dans la tentative par celui-ci, de blanchiment de FRANCS et de FRANCS des colonies françaises du Pacifique en 2006 entre la police, la banque et le trésor public de la rue du Chevreuil -, en tout cas, que le directeur de greffe du ministère de la justice de la France en faillite endosse aussi complaisamment une éventuelle théorie d’illégalité sans aucun écrit de celui qui affirme qu’illégalité il y a, n’est pas commun. En l’espèce, c’est plus pire encore (sic) car le Trésor public (ministère des finances et du budget national) s’ingère là dans le domaine relevant de l’autorité judiciaire. Les effets sur la justice sont de surcroît on ne peut plus directs, puisque le refus d’accepter le paiement déjà effectué contre quittance, risque de perturber le cours de la procédure vu l’ascendant du Trésor public sur l’autorité judiciaire, ce qui relèvera assurément d’une faute grave et non détachable, de ta part, comme exécutant, intermédiaire ou homme de main.

Je tiens bien évidemment les documents originaux que tu m’as renvoyés à ta disposition et te les ré-enverrai le cas échéant sur simple demande de ta part puisqu’aujourd’hui tout comme depuis que j’ai effectué le paiement, j’insiste de pouvoir m’acquitter de cette ridicule et criminelle consignation par le moyen prévu par l’article L 131-2 notamment, du « code » monétaire et financier, sauf, pour le Trésor public de relever que j’aurais contrevenu à l’une quelconque des prescriptions en la matière que ne couvrirait pas l’article 162 de la loi orga-nique 2004-192 du 27 février 2004 dont la transparence a encore été renforcée le 7 décembre 2007 par la « loi de l’Etat » n° 2007-1719.

Royaume de TAHITI et ses dépendances le 2 février DEUX MIL 8

Avec Honneur





Le président de « la Polynésie française »,

président des Françaises et des Français

Pièces jointes :


01) Ordonnance n° 07-2779 du tribunal administratif de Strasbourg,

02) Monsieur Christian ESTROSI, XPF et Francs pacifiques LNT 31/01/2008,

03) Reçu L294681 estampillé « Liberté-Egalité-Fraternité République française »,

04) Livre Révélation$, Messieurs Denis ROBERT et Ernest BACKES, pages 180/181, comptes non publiés Clearstream.

==========

XPF pour les nuls. 06 Et toi, et toi, et toi...

Sixième leçon:

1) Vu qu'aucune obstruction basée sur des textes de loi applicables
n'a pu être opposée au président de "la Polynésie française", d'autres personnes
en faisant la demande peuvent ainsi utiliser cette Sociétégénéralerie (P.J. ... Cheque...)
2) Contre reçu dûment estampillé: n'ayant "aucun pouvoir libératoire" (P.J. ... Declaration....)
3) NB: Ces chèques sont bien sûr établis à l'ordre d'institutions ou de professions "de la justice" ou du secteur bancaire,
et non à l'ordre de particuliers puisque le but est de démontrer l'impuissance des exécutants de la fonction publique à
pouvoir recouvrer n'importe quelle somme réclamée "au sein de la république française" (sic) ni de pouvoir démontrer une
quelconque illégalité... de leur impossibilité; auquel cas les affaires Clearstream, Deutsche Börse et autres
seraient résolues comme par magie et tous les ministres des finances depuis le 25 décembre 1945 toujours vivants, voués
aux gémonies.

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Message par avec-amour-et-paix Lun 3 Mar - 11:54

Monsieur Michel RECOR,
michel.recor@dgi.finances.gouv.fr


Je lis dans ton courrier du 14 janvier 2008: "... faire appliquer la loi fiscale votée par le Parlement, avec équité et neutralité", suivi de menaces.

Tu es sur ma liste de diffusion et tu reçois donc mes e-mails sur les blanchiments de devises par l'intermédiaire de la DGI.

Tu n'ignores donc pas que dans la "loi fiscale votée par le Parlement", tu ne trouveras pas le moindre XPF et pour cause: 1FRANC vaut 0,00 euro et inversement.

Comment oses-tu alors proférer des menaces, aboyer comme un roquet alors que tu t'abstiens de dénoncer, comme TE l'impose l'article 40 du CPP, les blanchisseurs de devises, tes compères, qui opèrent dans le royaume de TAHITI et ses dépendances (statut de "la Polynésie française") par exemple.

Une lettre d'excuse publique ne pourra pas t'exonérer de ta prévarication mais tu ne pourras en faire l'économie.

Et TES dossiers te rattraperont, l'actualité est là. Les magouilles françaises à l'OCDE sont exposées. Ton courrier du 14 janvier dont je ne prends connaissance qu'à l'instant t'a déjà rattrapé.

Avec Honneur

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